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Agaléga: Nord et Sud, du passé au présent
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Agaléga: Nord et Sud, du passé au présent
L’île du Sud vue de la mer…
Alors que l’île du Nord a connu une série d’inaugurations cette semaine, l’île du Sud – ou Galéga – comme l’appellent encore les locaux, demeure figée dans le temps. L’accès y est limité, car les bateaux qui font la navette voguent au gré des marées… Les ruines témoignent d’un temps où cette partie de l’archipel était le haut lieu d’Agaléga. La majeure partie est toujours recouverte de végétation sauvage. Au village, qui accueille 75 personnes, la vie est réduite à sa plus simple expression… Incursion en images.
(L’école primaire du Sud. Dès le collège, les élèves doivent se rendre par bateau sur l’île du Nord pour suivre les classes. Mais la desserte entre les deux îles dépend de la marée, ce qui complique les choses.)
(La chapelle Sainte Rita. Les sœurs Dominique et Marie Florentine y font le déplacement les mercredis et les dimanches. Elles enseignent le catéchisme et vont souvent à la rencontre des habitants.)
(Les vestiges de l’ancienne prison.)
(Auparavant, Galéga était l’île principale et le centre névralgique de l’archipel. Mais depuis que la piste d’atterrissage – l’ancienne – a été construite au Nord, tout a été déplacé vers ce lieu. Désormais, le Sud compte environ 75 habitants. Dans le village, les ruines témoignent du temps où Agaléga était administrée de là.)
(Sœurs Dominique et Marie Florentine.)
(Un élevage de bétail au Sud. Impossible d’entreprendre une telle activité au Nord, expliquent les habitants, car les animaux ne s’adaptent pas...)
(Le point de débarquement de l’île du Sud.)
(Le seul commerce du Sud. Ici, l’approvisionnement est plus compliqué qu’au Nord, car il faut encore transporter les produits entre les deux îles, et cela dépend souvent de la météo et des marées.)
(Le centre communautaire de Sainte-Rita est désormais à la disposition des Agaléens.)
(Pas de paille ? Pas de problème...)
(Le chemin de sable entre le point de débarquement et le village.)
(Il n’y a qu’un seul van et un 4x4 pour les déplacements dans l’île. Généralement, c’est le van qui fait la navette entre le point de débarquement et le village.)
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