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Sur Facebook: auteurs de vidéos insolites, Michaella Mounawah et Milano disent avoir reçu des menaces
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Sur Facebook: auteurs de vidéos insolites, Michaella Mounawah et Milano disent avoir reçu des menaces
Tenterait-on de nuire au duo Michaella Mounawah et Milano? Les deux protagonistes des vidéos Dipain Cardo, Tiorel et Aret sa fi, entre autres, ont porté plainte contre un habitant de Pailles, le vendredi 13 mai. Ce dernier aurait créé une page sur Facebook pour harceler Michaella Mounawah, Milano et une jeune femme qui gère la page Les délires de Michaella Mounawah. La police a ouvert une enquête.
Il y a quelques jours, le duo est tombé sur une page sur Facebook avec leurs photos et des allégations sur leur vie privée. «Ce sont nos amis qui nous ont signalé l’existence de cette page. C’est de la jalousie et de l’orgueil», lâche Michaella Mounawah. Pour comprendre les motivations de l’habitant de Pailles, la jeune femme indique qu’elle lui a envoyé un message via Facebook. Mais ce dernier ne lui a pas répondu.
«Il a commencé par nous insulter, Milano et moi. Et il a lancé des menaces à la gérante de notre page. Il partage nos photos alors qu’il n’en a pas le droit, s’insurge Michaella Mounawah. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi il fait cela. C’est pour cette raison que nous avons décidé de référer le cas à la police», explique la judokate. Milano et elle sont bien décidés à ne pas se laisser intimider. Ils confient avoir de nouveaux projets en tête. «Depuis que nous avons commencé nos vidéos, il y a beaucoup de gens qui nous suivent sur Facebook. Il suffit de lire les commentaires sur notre page pour constater que nous avons des encouragements. Ce ne sont pas des critiques qui nous mettront des bâtons dans les roues», affirme-t-elle.
Les vidéos de Michaella Mounawah ont commencé par hasard. Elle filmait les clients qui fréquentent la tabagie de son père, qui longe la route Ménagerie, à Cassis. «Les clients réguliers aiment bien que je les filme. Ils me racontent parfois des histoires, des anecdotes ou encore leur journée et parfois ils dansent pour nous. Et puis il y a eu l’histoire de Di pain Cardo, Aret sa fi, Tiorel», relate-t-elle.
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