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Sydney: dans l’œil d’une jeune mauricienne
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Sydney: dans l’œil d’une jeune mauricienne
L’Australie, terre d’accueil. Et pays d’adoption de nombreux Mauriciens. Mais pas seulement. Le pays des kangourous s’illustre également au Top 10 mondial des destinations les plus prisées pour les stages en entreprise. Theresa Leve Hang, 22 ans et résidante de Baie-du-Tombeau revient d’un séjour de six mois. Étudiante en troisième année à Vatel, elle a choisi l’hôtel Westin, à Sydney, pour son stage de deuxième année. La jeune étudiante mauricienne nous livre son regard sur la célèbre ville portuaire.
Budget: Rs 60 000
Pour le billet d’avion aller-retour
Pour l’hébergement, il faut verser un dépôt (bond) de Rs 30 000 (1 200 dollars australiens) en sus de AUD 385, le loyer par semaine. En parallèle, le moyen tourne autour de salaire AUD19-22/heure
Qui est Theresa Leve Hang
Née d’un père Mauricien et d’une mère Taïwanaise, Theresa Leve Hang dit avoir pu réaliser ce «rêve australien» grâce aux encouragements de sa sœur aînée, Sophia. Cette dernière étudie à la prestigieuse école Cordon Bleu de Sydney. Quant à Theresa, elle a fait son stage au restaurant Mosaic de l’hôtel Westin de la ville australienne. Sa passion pour la restauration a débuté dès sa première année d’études alors qu’elle est en stage à l’hôtel The Oberoi, qui se situe à Balaclava. Pourtant, la jeune femme de 22 ans n’était pas destinée à une carrière dans l’hôtellerie.
«Adorant bouquiner, je me suis envolée pour Taipei pour faire des études en langues afin de devenir interprète, comme je parle couramment le mandarin. Mais cela ne me plaisait plus ! Je voulais me trouver un poste ou je pourrai apprendre et voyager.» De son séjour australien de six mois, elle admet néanmoins que le travail était «vraiment dur». «J’ai dû m’adapter à un nouveau type de clientèle et aussi surpasser leurs attentes.» Malgré le travail, elle a pu découvrir cette ville qui abrite la fameuse Opera House. «Je suis aussi allée en haut de la tour de Sydney pour admirer la ville en 360 degrés.» Theresa Leve Hang a ainsi goûté à une ville multiculturelle où les gens sont «très tolérants». «La vie est chère certes, mais je vous encourage d’y aller.»
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