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Chez les Maharajahs
Des États-Unis au Pacifique ou qu’il sillonne le continent africain, Raj Chintaram se présente comme un fin voyageur avide de culture locale. Parmi ses coups de cœur, l’Inde, où il se trouve actuellement. Attachez vos ceintures. Embarquement immédiat pour Jaipur, la cité rose et capitale du Rajasthan avant de prendre de l’altitude pour le Mont Abu.
Cinq étages, 953 fenêtres. Le «Hawa Mahal», ou si vous préférez le Palais des Vents, se situe au cœur de la capitale du Rajasthan. L’histoire raconte que les femmes qui y habitaient se mettaient aux fenêtres pour se connecter à l’extérieur car elles n’avaient pas le droit de sortir.
Les pirogues à rames de toutes les couleurs au Lac de Nakki à Mont Abu. La légende veut que ce grand bassin aurait été creusé par un dieu à l’aide de son ongle (ou «Nakh»).
Qui est Raj Chintaram ?
<p>Il préside le comité Infrastructures et énergie au sein du Conseil économique, social et culturel de l’Union africaine depuis 2015. Raj Chintaram est également engagé dans le développement communautaire, la philanthropie et la préservation de l’environnement depuis deux décennies. Habitant Midlands, il a fondé l’Association civique de l’endroit. Détenteur d’un doctorat en développement durable, il est tout aussi actif sur le plan international, au sein de <em>l’African Network for Policy Research and Advocacy for Sustainability</em>. Ça n’en finit pas. En 2008, celui qui est également l’initiateur de l’Earth Day Network et de l’<em>Earth Hour Global</em> à Maurice, est sacré <em>Most Outstanding Young Person</em> par la Jeune chambre internationale. Spécialisé dans le domaine du tourisme culturel et du patrimoine ou encore du tourisme durable, il est sollicité pour partager ses connaissances en la matière. Comme lors du 78e voyage de paix à bord du <em>Peace boat</em>, une organisation non-gouvernementale à but non lucratif basée au Japon, en 2012.</p>
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