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La biorésonance: un puissant outil d’évaluation et de rééquilibrage énergétique
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La biorésonance: un puissant outil d’évaluation et de rééquilibrage énergétique
Avant d’ouvrir son cabinet Curatio signifiant santé, à la rue Lees à Curepipe, cette cofondatrice du centre Étoile d’Espérance, a enseigné l’anglais pendant 18 ans aux enfants du primaire fréquentant le Lycée Labourdonnais avant de démissionner car trouvant le système d'enseignement trop rigide.
Comme Diane de Spéville s’intéressait, depuis un moment déjà, à la médecine quantique et à la biorésonance, elle a décidé de suivre des cours pour devenir experte en la matière. Ainsi, pendant trois ans, elle a suivi des formations à Paris et à Lyon et essaie d’assister le plus régulièrement possible aux conférences mondiales sur la médecine quantique. D’ailleurs, le mois prochain, elle assistera à la conférence mondiale sur la médecine quantique, la biorésonance et les thérapies bioénergétiques à Budapest.
«Il faut fouiller ses pensées, les défragmenter...»
La biorésonance, explique Diane de Spéville, est une discipline de la médecine quantique. Contrairement à la médecine traditionnelle, la médecine quantique ne conçoit pas le corps comme un assemblage d’organes à traiter séparément mais comme un champ vibratoire et énergétique constitué de milliards de particules de lumières ou photons, actives dans les cellules et dont la vibration change au gré des moments, des carences physiques et des vulnérabilités émotionnelles. «Une cellule saine devrait vibrer à 70 hertz alors qu’une cellule cancéreuse va le faire à 30 hertz», explique-t-elle.
La biorésonance, qui est non invasive, consiste à faire appel à un équipement, en l’occurrence la machine SCIO. Celle-ci va évaluer l’état énergétique du corps et ses anomalies électromagnétiques, qui occasionnent une accumulation de toxines et des maladies, et rectifier le tir en envoyant des signaux électromagnétiques précis et ciblés de faible intensité pour booster le système immunitaire et favoriser une désintoxication de l’organisme.
Le SCIO ressemble à un boîtier de chaîne satellitaire. Il est relié à un ordinateur opérant selon un programme informatique spécifique et à des harnais contenant chacun huit capteurs. Ces harnais sont placés autour de la tête du client, autour des poignets et de ses chevilles et pendant plus de trois minutes et demie, le SCIO va prendre la fréquence des cellules de chaque organe. Il indiquera ensuite à l’experte où se situent les dysfonctionnements physiques et émotionnels, qui empêchent un flux normal d’énergie dans le corps. Une fois que cette évaluation en profondeur est faite, le SCIO va envoyer des signaux à faible fréquence là où il y a des blocages d’énergie pour libérer les toxines et restituer leur énergie vibratoire naturelle aux cellules.
La première patiente de Diane de Spéville a été ellemême. Son rhumatologue avait décelé chez elle une sérieuse ostéoporose et lui avait prescrit des médicaments extrêmement forts, destinés à occasionner un choc aux os pour les réactiver. Consciente des effets secondaires lourds qu’elle encourait si elle suivait ce traitement, elle a utilisé le SCIO sur elle à raison de deux sessions par semaine durant neuf mois. Lorsqu’elle a, par la suite, effectué son test de densité osseuse, les signes de l’ostéoporose avaient disparu.
Diane de Spéville ne se contente pas que des effets positifs de la biorésonance. Étant convaincue du pouvoir du mental sur la santé, elle demande à ses clients de déprogrammer leurs pensées négatives et de positiver. «L’on peut être né victime mais c’est à nous de choisir si nous voulons rester dans cet état ou nous en sortir. Deux émotions jouent un rôle primordial dans notre vie, l’amour, qui nous aide à avancer et la peur qui nous empêche de réagir. Il faut donc fouiller ses pensées, les défragmenter et casser tous nos réflexes négatifs, toutes nos peurs. C’est sûr que cela ne se fera pas en un jour mais il faut se fixer de petits objectifs tous les jours et travailler dessus pour obtenir des résultats. Nous pouvons nous débarrasser de tous nos conditionnements que nous traînons comme des boulets»
C’est le bouche à oreille qui a étoffé le carnet de clients de Diane de Spéville. Appelée à évoquer ses meilleurs résultats de biorésonance, elle parle d’une jeune femme régulièrement sujette à des infections urinaires. Lorsqu’elle lui a fait son évaluation au SCIO, elle a décelé un taux anormalement élevé de caoutchouc dans ses cellules. «En discutant avec elle, elle a réalisé que son corps devait réagir au cup menstruel. Autant certaines femmes n’ont aucun problème de ce genre avec le cup menstruel, autant elle, elle en avait. Depuis qu’elle a arrêté de l’utiliser, elle n’a plus d’infections urinaires.» Un autre client se plaignait de douleurs et estimait qu’il était atteint de fibromyalgie. Lorsqu’elle lui a fait une session de biorésonance, elle a noté une concentration de métaux lourds dans ses cellules. Il s’est avéré qu’il faisait une allergie à son appareil orthodontique. «Cela allait nettement mieux après qu’il l’ait enlevée», dit-elle. Elle estime avoir aussi contribué à guérir une femme souffrant d’une maladie auto-immune. «La biorésonance lui a été utile mais son moral, qui était très fort, a joué en sa faveur.»
Diane de Spéville précise toutefois qu’elle reste toujours dans la suggestion. «J’informe le client. C’est à lui de décider s’il veut changer ses habitudes ou pas.» Comme cette thérapie bioénergétique est non invasive, la biorésonance s’adresse à tout le monde. L’experte évite toutefois les femmes enceintes qui sont plus fragiles et les personnes qui portent des stimulateurs cardiaques car la biorésonance fait tout de même appel à des microcourants.
Ce qu’il faut savoir, c’est que la biorésonance et les thérapies bioénergétiques ont pris une ampleur mondiale. Elles sont même utilisées par des médecins et des dentistes et en Suisse, elles sont couvertes par les assurances médicales.
Diane de Spéville dispose de 500 protocoles d’utilisation de l’équipement SCIO dont un des programmes est le rajeunissement cellulaire. Le cabinet Curatio qui va déménager bientôt de la rue Lees pour s’installer à la rue Commerford à Curepipe, est ouvert du lundi au samedi de 9 heures à 19 heures.
Depuis quatre ans, Diane de Spéville experte en biorésonance, met cette discipline de la médecine quantique au service des Mauriciens. En sus d’évaluer les anomalies électromagnétiques au sein des cellules et donc des organes, elle les rectifie à l’aide de signaux électromagnétiques de faible intensité, qui purgent les toxines de l’organisme.
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