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Deokumar Bhekharee: «Mone feel ki mo ti bizin ekrir kitsoz lor mo pei»
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Deokumar Bhekharee: «Mone feel ki mo ti bizin ekrir kitsoz lor mo pei»
Deokumar Bhekharee est actuellement Client Financial Adviser à la Swan. Il détient un Master en Business Administration et complète en ce moment son PhD à l’université de Maurice. Cet habitant de Goodlands est aussi impliqué comme travailleur social au sein de deux associations non gouvernementales, School of Hope et We Help You. Qui plus est, il est un ancien policier qui comptabilisait 25 ans de carrière. Il a lancé, le 21 septembre, un premier livre intitulé Dark days in Mauritius, qui retrace l’histoire de l’esclavage dans l’île.
Ce projet, dit Deokumar Bhekharee, a pris quatre ans pour se matérialiser. Il voulait mettre en avant la souffrance éprouvée par les esclaves à l’époque. Il a fait bon nombre de recherches avant de se mettre à la rédaction.
Mais explique l’auteur, il a pris du plaisir à le faire car il a découvert des histoires intéressantes. «Monn feel ki mo ti bizin ekrir kitsoz lor mo péi. Je pense qu’il fallait mettre en avant cet aspect de notre histoire. Ce sera une référence pour les Mauriciens», poursuit-il.
ree est actuellement Client Financial Adviser à la Swan. Il détient un Master en Business Administration et complète en ce moment son PhD à l’université de Maurice. Cet habitant de Goodlands est aussi impliqué comme travailleur social au sein de deux associations non gouvernementales, School of Hope et We Help You. Qui plus est, il est un ancien policier qui comptabilisait 25 ans de carrière. Il a lancé, le 21 septembre, un premier livre intitulé Dark days in Mauritius, qui retrace l’histoire de l’esclavage dans l’île.
Ce projet, dit Deokumar Bhekharee, a pris quatre ans pour se matérialiser. Il voulait mettre en avant la souffrance éprouvée par les esclaves à l’époque. Il a fait bon nombre de recherches avant de se mettre à
la rédaction. Mais explique l’auteur, il a pris du plaisir à le faire car il a découvert des histoires intéressantes. «Monn feel ki mo ti bizin ekrir kitsoz lor mo péi. Je pense qu’il fallait mettre en avant cet aspect de notre histoire. Ce sera une référence pour les Mauriciens», poursuit-il.
Même si l’ancien policier est d’avis que ses compatriotes ne lisent pas suffisamment, il compte bien s’atteler à l’écriture d’autres ouvrages, notamment un sur les techniques de gestion.
Dark days in Mauritius a aussi été écrit dans un anglais simple dans le but de toucher le maximum de gens possible. «Et je n’ai pas fait un livre bulky», explique-t-il. Il a insisté pour qu’il y ait la photo du Morne Brabant sur la couverture parce que «Le Morne Brabant, li mem ki finn trouv tou seki finn pasé. Li pli kredib.»
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