C’est sans complexe que Franck Dubosc aborde son cinquantenaire dans Fifty Fifty, son 5e spectacle pour lequel il est actuellement en tournée. Le samedi 4 mai, ses fans le découvriront de nouveau sur la scène mauricienne. Fifty Fity sera présenté à partir de 20 heures au centre Swami Vivekananda à Pailles. Avec ce spectacle, Franck Dubosc l’avoue : «je me dévoile plus. Je vais plus loin. Fifty Fifty n’est pas un spectacle sur la cinquantaine, mais plutôt sur ma vie. Je crois qu’il est important d’être sincère avec son public». À travers Fifty Fifty, Franck Dubosc parle non seulement de sa vie de cinquantenaire mais de ses enfants et de son épouse, entre autres.

Rencontré à l’hôtel Royal Palm à Grand-Baie où Franck Dubosc séjourne avec sa famille, celui qui porte plusieurs casquettes - il est à la fois comédien, acteur, scénariste et plus récemment réalisateur-, ne s’est pas fait prier pour répondre à nos questions. La bonne entente et l’humour étaient présents.

«Je me dévoile plus. Je vais plus loin. Fi n’est pas un fty Fifty spectacle sur la cinquantaine, mais plutôt sur ma vie.»

Un lien spécial lie Franck Dubos à Maurice. «C’est l’endroit préféré de mes enfants. Je trouve qu’ils ont bon goût. J’adore Maurice. Je pense que c’est un des endroits dans le monde où l’on est le mieux reçu. On a l’impression qu’on est toujours les bienvenus et ce, quelle que soit la nationalité. Est-ce que c’est un pays qui a compris que s’ouvrir aux autres c’ést une façon de s’ouvrir soi-même ? On vient vous envahir et vous nous recevez, merveilleusement même. Le soleil, la plage, les palmiers, il y en a dans d’autres endroits du monde. Venir à Maurice est très cher mais on y vient quand même , peut-être à la recherche de quelque chose d’autre que le soleil. Vous avez su trouver ce qui nous faisait venir», estime-t-il.

C’est à Maurice qu’il a, en partie, travaillé sur la réalisation de son premier film Tout le monde debout, sorti l’année dernière et c’est également sur nos côtes qu’il compte terminer l’écriture de son second scénario. «En tant que réalisateur, je suis dans le rôle de créateur et c’est un réel plaisir. George Clooney, que j’ai une fois rencontré, m’a dit que c’était bien d’être réalisateur à notre âge. En effet, il y a plein de rôles que je ne pourrai plus faire et là, en étant réalisateur, c’est une façon de vivre de nouveaux rôles à travers les autres», explique Franck Dubosc.

Par rapport à son prochain film, Franck Dubosc souligne qu’il s’agit «de l’histoire d’un père, qui a abandonné sa fille quand elle avait huit mois. Se sentant malade, il va essayer de la retrouver. Pour la rencontrer sans causer de clash dès le début, il s’inscrit dans le cours de danse où elle est prof». Franck Dubosc va se retrouver dans la peau du père. En attendant de voir son prochain film sur grand écran, l’humoriste vous donne rendez-vous le samedi 4 mai au centre Swami Vivekananda. Il ne manquera pas d’apporter une touche mauricienne au spectacle. Des billets sont encore disponibles dans toutes les catégories chez ôtayo et Immedia. Ils sont également en vente à travers MariDeal dans les catégories Gold, central, latéral et gradin central.