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Espèces en voie de disparition: ces spécimens rares qu’on ne verra plus d’ici décembre…
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Espèces en voie de disparition: ces spécimens rares qu’on ne verra plus d’ici décembre…
Cette semaine, le groupe d’experts de la biodiversité de l’Organisation des Nations unies a soumis un rapport qui donne froid dans le dos. Si l’homme ne change pas son comportement pollueur, un million d’espèces vont disparaître. Parmi, des insectes et des oiseaux. Mais le rapport omet d’inclure ces vertébrés qui se sont eux-mêmes mis en danger par leurs comportements. Leur milieu est un bâtiment circulaire sis à la rue de l’Intendance, à Port-Louis, île Maurice.
Dans ce bâtiment, 70 spécimens se côtoient. Selon les photos d’archives, certains y ont élu domicile depuis la nuit des temps et ont assuré leur relève. Ceux-là n’ont pas l’intention de bouger alors que d’autres, qui ne sont arrivés que récemment, sont déjà en voie d’extinction.
Parmi, on compte le Kalyanus Lalangus, qui se caractérise par une langue baveuse qu’il utilise pendant la danse nuptiale. Mais comme l’abeille mâle, qui ne copule qu’une fois avant de mourir après l’acte, le Kalyanus Lalangus a toutes les chances de disparaître lors d’une période appelée les législatives.
Puis, il y a la Boygabambarus. Tel le bébé coucou qui vire les autres petits oiseaux du nid pour prendre leur place, la Boygabambarus occupe des espaces qui ne lui appartiennent pas. Elle a une préférence pour les endroits humides tels les barachois.
Cette espèce est aidée dans sa démarche par le Koonjoous, être au crane luisant, aveugle comme une taupe. S’il est prêt à aider ses amis, les problèmes de vue du Koonjoous ne lui sont pas favorables. Il ne voit pas ses prédateurs, comme les baleines, et il ne fait pas long feu.
Autre petit être qui est parfois rigolo au point d’être irritant : le Ravius Zanzanius. Il fait souvent rire lorsqu’il essaie d’imiter les sons émis par ses semblables mais n’y arrive pas toujours. Mais ce qui peut sonner le glas pour le Ravius Zanzanius est le fait qu’il ne sait pas compter, et ça, dans un milieu qui ne jure que par un miracle économique, ça ne pardonne pas.
Le Rajus Balkoulerus fait également partie de ceux qui sont en voie de disparition. Après avoir essayé de demander à des tierces personnes de financer pour lui des «bal kouler», il a menacé de quitter son milieu naturel, allant même jusqu’à boycotter une rencontre en haut lieu, réunissant toutes sortes de spécimens rares. Depuis, il est de moins en moins présent sur les lieux…
Il y a aussi le Danus Lakazus Diablus, un spécimen intéressant. Malgré son «donnez-moi un exemple de livre de chevet», à une époque, il était très côté, son prix allait jusqu’à Rs 40 millions. Mais depuis, il est tombé dans l’oubli et tout laisse présager qu’il sera bientôt éteint.
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