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MOMIX 2019

Un plus grand nombre de professionnels invités

5 octobre 2019, 21:00

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La 3e édition du marché de musique de l’île Maurice (MOMIX) s’est tenue du 2 au 4 octobre. Contrairement aux années précédentes, 2019 a accueilli un plus grand nombre de professionnels étrangers oeuvrant dans l’industrie musicale. Que pensent-ils de MOMIX ? Et qu’attendent-ils de ce marché ? Nous avons parlé avec quelques-uns d’entre eux.

Chelsea Stewart, artiste canadienne d’origine jamaïcaine, et Karen Stewart, sa mère et son manager.

«C’est notre première fois ici à Maurice et à MOMIX, et nous sommes très heureuses et enthousiastes d’y participer. Nous avons découvert MOMIX en Afrique de Sud, et nous essayons de partager l’expérience que nous aurons acquise ici avec ceux de chez nous (Canada et l’Occident en général) en utilisant les réseaux sociaux. En faisant cela, nous espérons que d’autres artistes canadiens et jamaïcains voudront collaborer avec des artistes mauriciens – et ce n’est pas difficile de communiquer et de rester en contact ! Nous nous sommes rencontrés avec Eric Triton et Shakti, et nous aimons ce qu’ils font.»

Seabolo Modibe, responsable de Botswana International Music.

«Après avoir rencontré les responsables de MOMIX en Afrique de Sud, je suis venu à Maurice. C’est ma première visite ici. C’est très important de rester en contact, et d’avoir cet échange culturel, pas pour nous, mais pour les artistes – ce sont eux qui sont les plus importants ici. Ils ne viennent pas ici seulement pour MOMIX, mais pour tous les autres marchés présents ici. C’est une belle opportunité de se promouvoir. Personnellement, je veux bien découvrir la scène Musicale mauricienne, et je cherche à faire quelque chose avec Éric Triton, j’aime bien son style ».

Sinamandla Kwepile, General Manager de MOSHITO, marché de musique Sud-Africain.

«Avec MOMIX, nous pouvons tous apprendre comment nous pouvons développer l’industrie musicale africaine. C’est très important que les pays, tels que Botswana, Maurice, Afrique de Sud, Zimbabwe et Seychelles, comprennent ce qu’est l’industrie musicale et comment on peut l’améliorer. Je veux que nous ayons un échange culturel, que nous collaborions ensemble pour créer une plateforme pour les artistes sud-africains et mauriciens. Grâce à notre partenariat avec MOMIX, qui se renouvelle chaque année, nous avons déjà travaillé avec Éric Triton quand il est venu à Johannesburg en 2017. Je connais aussi Jason Heerah, et je veux bien travailler avec un autre artiste mauricien, si possible».