Le célèbre chanteur bollywoodien Udit Narayan sera en concert à Maurice le 29 février 2020. Le rendezvous est donné à partir de 20 heures au SVICC à Pailles. Une initiative de MABB Events.

«En ligne avec notre but qui est d’emmener les meilleurs artistes à Maurice, nous faisons venir Udit Narayan. Un des meilleurs chanteurs que Bollywood a connus. On veut que les gens revivent leurs histoires d’amour datant des années 80 et 90. Période dont datent les chansons romantiques du chanteur, d’où le thème ‘Revive your 90s love story’», affirme Ajay Deora, membre de la boîte MABB Events. Le dernier concert d’Udit Narayan à Maurice remonte à mai 2004.

Bien qu’Udit Narayan ne figure pas parmi les chanteurs bollywoodiens les plus sollicités du moment, il demeure un artiste evergreen. Il démarre sa carrière musicale dans les années 80 à Bollywood. L’on retiendra surtout ses chansons dans le film Qayamat Se Qayamat Tak (1988). À savoir «Ae mere hamsafar», «Papa kehte hain», «Akele hain to kya gham hain» et «Gazab ka hain din.»

Durant la décennie suivante, le chanteur prendra son envol. Notamment avec des chansons telles que «Pehla nasha» (Jo jeeta wohi sikandar, 1992), «Tu cheez badi hain mast mast» et «Tip tip barsa paani» (Mohra, 1994), «Raja ko Rani se pyaar ho gaya» ainsi que la chanson titre d’Akele hum akele tum (1995) qu’il interprétera avec son fils Aditya Narayan, les chansons du film Raja Hindustani (1996) – «Pardesi pardesi», «Aye ho mere zindagi mein», «Kitna pyaara tujhe rab ne banaya» ou encore la chanson titre Kuch Kuch Hota Hain (1998) et «Koi mil gaya.»

Le début du millénaire sera aussi marqué par plusieurs morceaux à succès pour Udit Narayan. Dont «Dil ne yeh kaha hain dil se» (Dhadkan, 2000), «Kitni bechain hoke» (Kasoor, 2001), pratiquement toutes les chansons du film Lagaan (2001) – «O Re chori», «Mitwa», «Radha kaise na jale», «Ghanan ghanan» et «O paalanhaare.» Ou encore celles de Kabhi Khushi Kabhie Gham (2001) avec les chansons «Yeh ladka hai Allah» «Bole chudiyan», «Say shava shava», et «Tujhe yaad na meri aye», et tant d’autres encore.