Publicité
Trois policiers agressés et un autre aspergé d’un liquide lors d’une requête
Par
Partager cet article
Trois policiers agressés et un autre aspergé d’un liquide lors d’une requête
Les policiers ont eu fort à faire dans la soirée de samedi. Un sergent de police et deux constables affectés au poste de police de Chemin-Grenier ont été agressés dans l’exercice de leur fonction. Les agents s’étaient rendus à la plage de St-Felix après avoir reçu une requête concernant un accident dans la région. Mais arrivés sur place, il n’y avait aucun accident.
Les policiers sont tombés sur un groupe d’individus qui semblaient sous l’influence de l’alcool et semaient le trouble. Ils sont descendus de leur véhicule et se sont retrouvés entourés d’une centaine de personnes. L’une d’elles s’est approchée du sergent de police et l’a l’insulté. L’homme a été sommé de se calmer. Mais la bande est devenue hostile.
Le premier nommé a grimpé sur le capot du fourgon de la police et s’est pris en selfie. Un policier l’a réprimandé. Le suspect, vexé, a donné un coup de poing au visage d’un agent qui s’est blessé à la bouche. Il a ensuite agressé un autre policier. Le sergent de police a averti le fauteur de trouble qu’il a commis un délit. Ce dernier a aussi agressé le sergent qui a été blessé à l’œil.
Les policiers blessés se sont mis aux trousses du suspect. Du renfort a été sollicité. Des membres du public ont fait obstruction pour barrer la route aux policiers qui essayaient de capturer le présumé agresseur. Un habitant de Bel-Ombre a été arrêté pour obstruction. Les agents blessés ont reçu des soins à l’hôpital de Souillac.
Par ailleurs, un policier affecté au poste de police de Flacq a été brûlé au bras alors qu’il intervenait pour séparer une dispute conjugale dans l’après-midi du 16 avril. Une septuagénaire avait fait appel à la police car sa nièce, qui serait victime de violence domestique, était en danger. La police est allée à l’adresse indiquée à Poste-de-Flacq. Une femme de 23 ans a confirmé aux policiers qu’elle subit des violences et ne souhaite plus vivre sous le toit conjugal. L’époux en colère s’est saisi d’un sceau contenant un liquide nocif.
«To pé rod alé, atann to pou koné la», a lancé le mari à son épouse. Un policier a essayé de le calmer. Il a alors lancé le produit en direction du policier. Ce dernier a reçu des soins à l’hôpital Dr Bruno Cheong, à Flacq
Publicité
Les plus récents