Comment la police peut-elle passer une commande pour un système de vidéosurveillance dernier cri et se retrouver avec une technologie dépassée sur les bras ? C’est une question qui risque de créer la polémique dans les jours à venir.

Tout débute le 30 avril 2013. Les Casernes centrales lancent un appel d’offres international pour l’installation d’un réseau de vidéosurveillance dans les régions de Beau-Bassin, Rose-Hill et Quatre-Bornes. Elles privilégient une technologie qui facilite la reconnaissance et l’analyse des images des plaques d’immatriculation des véhicules.

L’avantage de cette technologie est que les technologie est que les images filmées sont automatiquement traitées par un serveur informatique afin d’identifier les véhicules sur liste rouge, traquer les excès de vitesse et effectuer des reconnaissances faciales en temps réel. ZTE, qui a déjà fourni des radios à la police par le passé, a proposé une version antérieure de cette technologie. 

A lire dans l'express de ce mercredi 2 avril.