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Francophonie : Ramgoolam en admiration devant le discours de Hollande

13 octobre 2012, 00:00

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Francophonie : Ramgoolam en admiration devant le discours de Hollande

Navin Ramgoolam n’a pas caché son appréciation lors du discours de François Hollande, à la cérémonie d’ouverture du 14e Sommet de la Francophonie, à Kinshasa ce samedi 13 octobre.

C’était surtout lorsque le président français a parlé de l’une des quatre priorités de la Francophonie, notamment le respect de la démocratie, déclarant que « la francophonie doit porter la démocratie, les droits de l’Homme, le respect de la liberté d’expression, l’affirmation que tout être humain doit pouvoir choisir ses dirigeants ». Cette déclaration a valu à François Hollande, des applaudissements nourris et chaleureux.

A son arrivée au Palais du Peuple à 10h10 (heure de Kinshasa) ce matin du samedi 13 octobre, Navin Ramgoolam a été accueilli par le président de la République démocratique du Congo (RDC) Joseph Kabila Kabange, son épouse Olive Lembe Kabila Kabange, de même que par le secrétaire général de la francophonie, Abdou Diouf.

Selon le conseiller du Premier ministre en matière culturelle, Alain Gordon –Gentil, que l’express a rencontré au Palais du peuple, ce samedi, il est prévu que Navin Ramgoolam rencontre la communauté mauricienne résidant en RDC, avant son départ, dimanche dans la soirée.

Après la cérémonie solennelle qui a pris fin peu avant 14 heures, ce samedi,  le Premier ministre ainsi que la trentaine d’autres chefs d’état et du gouvernement se réunissent pour les travaux du 14e Sommet de la Francophonie. Ils débattront, pour rappel, autour du thème : Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à la mondialisation. Les principales préoccupations politiques et économiques, entre autres, des participants à ce Sommet seront également à la table des discussions. Travaux qui seront dominés par les différents conflits qui surviennent à l’Est de la RDC et au Mali.

Demain, dimanche, à la clôture des travaux, les participants procéderont à l’adoption de la Déclaration de Kinshasa, qui porte sur ces différents conflits.