Hormis une date de tournée, qu’est-ce que l’île Maurice vous évoque ?

Les vacances, plusieurs fois. Je retrouve ici quelque chose de précieux, une espèce de douceur qui me plaît beaucoup. Sur Maurice, les clichés mettent tout le monde d’accord : le soleil, la mer, la cuisine, je me fiche un peu de ça. S’il pleuvait toute l’année, je continuerais à venir.

Pour qui ou pour quoi ?

Pour les Mauriciens. Mon fils me parle souvent de nos souvenirs ici. Quand j’ai su que je revenais, j’ai proposé à ma maman de m’accompagner. J’ai eu envie qu’elle ressente ce que moi j’avais vécu. Je ne me suis pas trompé : elle est partie pour s’installer ! (Rires)

Un synonyme de Mauricien ?

(Longue réflexion) Des hommes et des femmes de coeur. Ça peut paraître cliché comme formule mais je me sens connecté aux gens ici. Vraiment.

On dirait que c’est réciproque: les billets se sont volatilisés en un temps record.

Vous on n’imaginez pas à quel point cette marque d’amour m’a touché. Je vis pour ça, comme tous les artistes.

Entretien réalisé par Fabrice Acquilina

(Lire l’intégralité de l’entretien dans le e-paper)