La Confédération syndicale de Gauche-Solidarité dénonce le fait que l’Employment Rights Act (ERiA) et l’Employment Relations Act (EReA) soient appliqués in toto.

Pour ce mouvement syndical, le gouvernement avait le choix de promulguer certaines parties seulement de ces lois. Or, il a choisi de le faire intégralement. La Confédération syndicale de Gauche-Solidarité (CSG-Solidarité), par conséquent, invite tous les employés du secteur privé à écrire une lettre à leurs employeurs pour que ces derniers ne déduisent pas sans leur consentement «le 1% des salaires destinés à financer les licenciements».

«Il est clair que les dispositions de l’ERiA sur le Termination of employment, le Several allowance, le Recycling Fee et le Workfare Programme, sont nettement défavorables à l’employé», affirment les animateurs de la CSG-Solidarité. Celle-ci compte ainsi organiser, une fois les lettres envoyées, un grand rassemblement.

La CSG-Solidarité dit également noter que l’entrée en vigueur de l’ERiA a entraîné une série de licenciements. Outre l’hôtellerie, le textile-habillement pourrait, selon ce syndicat, procéder prochainement à des licenciements.

La rdaction