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Le différend entre le Comité Olympique et la fédération de tennis réglé

7 novembre 2010, 00:00

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Le différend entre le Comité Olympique et la fédération de tennis réglé

Le président du CNOM, Philippe Hao Thyn Voon (photo), le président de la fédération de tennis, Mike Wong ont confirmé que le problème, entre leurs organisations respectives, est désormais réglé.

Cet réconciliation a été scellée en présence du ministre de la Jeunesse et des Sports, Devanand Ritoo, et du représentant du Comité international olympique (CIO), Mustapha Berraf,.

« On n’a pas tourné la page. On l’a carrément déchirée pour un nouveau départ. » Voilà les mots utilisés lors de la conférence de presse tenue au siège du Comité national olympique mauricien CNOM) à Port- Louis, le vendredi 5 npovembre.

« Grâce à la bonne volonté de tout un chacun, le problème est réglé » , avise Mustapha Berraf qui, durant trois jours, a multiplié les rencontres avec le CNOM, le ministre de la Jeunesse et des Sports et le président de la fédération de tennis.

« Toutes les plaintes en justice ont été également retirées» , ajoute le vice- président de l’Association des comités olympiques nationaux africains ( ACNOA), venus à Maurice comme médiateur.

Un accord a été signé entre le président du CNOM et celui de la fédération de tennis.« Un Memorandum of Understanding a été signé peu importe qui a tort ou qui a raison dans cette affaire. A présent, le CNOM reconnaît officiellement la fédération de tennis dans l’intérêt des sportifs avant tout » , précise Philippe Hao Thyn Voon.

Pour le ministre de la Jeunesse et des Sports, c’est une bonne chose que l’épisode soit clos. « On a perdu du temps. C’était un petit problème qui a trop duré.Heureusement que tout est rentré dans l’ordre maintenant. Avec la bonne foi des personnes responsables, il y a eu une réconciliation rapide. Tous ensemble, on doit travailler pour la promotion du sport », déclare Devanand Ritoo.

Mission réussie donc pour Mustapha Berraf qui quitte le pays aujourd’hui avec le sentiment du devoir accompli. « Des deux côtés, il y a des mauvais conseillers et parfois les choses ont été mal agencées. Il y a eu des modalités pour une réconciliation et c’est pour le bien de tous » , confie l’Algérien.