Le partage de code est une pratique courante dans l’industrie du transport aérien. Un accord en ce sens a été trouvé entre Air Mauritius et Air France sur la desserte Réunion-Maurice.<BR>&nbsp<BR>&nbsp<BR>Un nouveau chapitre est ouvert au niveau du partenariat commercial qui existe déjà entre Air France et Air Mauritius.<BR>Un accord qui s’articule autour du concept commercial de partage de code est intervenu entre les deux compagnies aériennes.<BR>&nbsp<BR>Cette pratique est courante dans l’industrie du transport aérien. Dans le cas présent, la compagnie nationale aérienne française autorise à Air Mauritius d’utiliser son code AF pour ce qui est des vols opérés chaque jour par Air Mauritius entre Saint Denis/Roland Garros et Saint Pierre/Pierrefonds et l’aéroport Sir Seewoosagur Ramgoolam, Plaisance.<BR>&nbsp<BR>Le code est une procédure par laquelle des vols commerciaux sont désignés dans l’industrie du transport aérien. Les deux premières lettres se rapportent à la compagnie et le nombre qui s’ensuit le numéro du vol. Ainsi, Air Mauritius utilisera le numéro de vol d’Air France pour faire la liaison entre la Réunion et Plaisance.<BR>&nbsp<BR>Alain Malka, directeur général Caraïbes &amp Océan indien d’Air France, accueille favorablement la conclusion de cet accord. «<EM> Air France et Air Mauritius unissent leurs efforts pour offrir de nouvelles possibilités de voyages combinant ces deux îles Vanille</EM> », a-t-il déclaré.<BR>&nbsp<BR>Indradev (Raja) Buton, Executive Vice President-Strategic Planning à Air Mauritius, salue également cet accord. « <EM>Il va permettre d’accroître l’offre vers Réunion et vers Maurice en créant de nouvelles opportunités d’acheminements via Maurice et via Réunion ».<BR></EM>&nbsp<BR>Ce n’est pas la première que les deux partenaires ont recours à un partage de code. Le 3 octobre 2008, un accord semblable a été signé entre les deux parties. La durée de l’accord devait être de cinq ans.<BR>&nbsp<BR>Au terme de cet accord, Air Mauritius qui, à l’époque desservait 24 destinations dans le monde pouvait utiliser son code sur certains vols exploités par la compagnie nationale française au départ de l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle. Une opération qui lui permettait d’assurer des correspondances vers Israël, des pays d’Europe et ceux d’Afrique du Nord.<BR>