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Liga - Pérez : "Mon entraîneur est Ancelotti"

25 juin 2013, 05:32

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Liga - Pérez : "Mon entraîneur est Ancelotti"

 

Pour la première fois, Florentino Pérez reconnait publiquement avoir choisi Carlo Ancelotti pour succéder à José Mourinho. Mais il reste dépendant du PSG.
 
Florentino Pérez a enfin lâché le morceau. Le président du Real Madrid a reconnu ce lundi que son premier choix pour succéder à José Mourinho sur le banc des Merengue se nommait Carlo Ancelotti, secret de polichinelle depuis de longues semaines. 
 
Si le technicien italien est toujours officiellement celui du PSG, où son contrat court jusqu’en juin 2014, Pérez a admis travailler sur son arrivée. "Mon entraîneur est Ancelotti", a-t-il lâché dans un entretien accordé à la pour le convaincre de libérer "Carletto", le président madrilène évoque les discussions avec Nasser Al-Khelaïfi. Pour lui, le président du PSG n’est pas particulièrement difficile en négociations. "C’est un homme ouvert d’esprit, a souligné Pérez.  Il était joueur de tennis professionnel et il est très jeune. C’est un président moderne." 
 
Avec l’envie de recruter Ancelotti, l’homme d’affaires espagnol marque une rupture avec Mourinho dans le style. Même s’il défend encore le bilan du Portugais. "Tous les entraîneurs ont leur façon d’être et de se comporter.  José Mourinho était très exigeant avec les autres et lui-même. Ancelotti l’est aussi, mais différemment, Mou a fait du bon travail." 
 
Avant de conclure l’interview, Pérez s’est aussi penché le cas Zinedine Zidane, cité comme candidat potentiel au poste d’entraîneur en cas d’échec de la piste Ancelotti. Mais il juge prématurée une éventuelle nomination du champion du monde 1998. 
 
"Je pense que personne ne débute comme entraîneur d’une équipe première. Vous devez débuter par une équipes d’enfants, de jeunes ou comme assistant du coach principal." 
 
Et pourquoi pas celui d’Ancelotti ? Avant d’y penser, il faudra d’abord que l’Italien signe pour de bon le contrat de quatre ans, assorti d’un salaire annuel de 4,4 millions d’euros, qui l’attend à Madrid, selon les informations du quotidien espagnol ABC. Pour mettre un terme à un feuilleton qui a assez duré pour Pérez.