Publicité

Pelé inaugure une horloge à Copacabana pour lancer le compte à rebours du Mondial

13 juin 2013, 12:14

Par

Partager cet article

Facebook X WhatsApp

Pelé inaugure une horloge à Copacabana pour lancer le compte à rebours du Mondial

En présence de Pelé, ancienne gloire du football brésilien, une horloge conçue par le célèbre architecte Oscar Niemeyer, décédé fin 2012, a été dévoilée mercredi sur la plage de Copacabana, afin de lancer le compte à rebours à un an du Mondial-2014.

 

L'horloge, sur un socle blanc en courbe d'une dizaine de mètres, indique le temps qu'il reste d'ici au 12 juin 2014, quand se jouera le premier match du second Mondial qu'organise le Brésil après celui de 1950.

 

"Nous allons faire une excellente Coupe du Monde sans aucun doute, nous sommes confiants", a déclaré Pelé, 72 ans, ambassadeur du Brésil pour le Mondial.

 

Outre Pelé qui a remporté trois coupes du monde avec l'équipe du Brésil, assistaient à la cérémonie le ministre brésilien des Sports, Aldo Rebelo, le secrétaire général de la Fifa, Jerôme Valcke, le maire de Rio de Janeiro, Eduardo Paes et le directeur exécutif du Comité Organisateur Local (COL), Ricardo Trade.

 

Dans un message enregistré, le président de la Fifa, Joseph Blatter, s'est dit "heureux parce qu'il ne reste qu'un an d'ici au Mondial".

 

"Je suis convaincu que l'un des héritages que laissera la compétition sera de contribuer à ce que ce pays devienne aussi une puissance dans le domaine des valeurs sociales et culturelles. Car, dans un pays multi- racial, le Mondial ne peut que rapprocher les gens. Dans le football, il n'y a pas de différences ni de classes sociales", a-t-il souligné.

 

Blatter arrivera au Brésil pour la Coupe des confédérations qui commence samedi et prend fin le 30 juin. Il visitera aussi les 12 villes hôtes du Mondial 2014.

 

Lors du premier match, le Brésil et le Japon s'affronteront à Brasilia.

 

"Gagner ou perdre dépend de comment sera l'équipe et de chance. J'espère ne pas revivre la même expérience que lorsque j'avais 9 ans en 1950 et que j'ai vu mon père pleurer en écoutant la radio", a dit Pelé, rappelant la défaite du Brésil en finale devant l'Uruguay au Maracana de Rio qui fut une traumatisme national.