Le Rose-Belle Business Park va enfin voir le jour. Business Parks Of Mauritius Ltd (BPML), qui est le propriétaire des lieux, s’apprête  à enclencher les procédures pour la vente des lots de terrain aux entreprises. Toutefois, contrairement à celui   d’Ebène, ce nouveau ‘business park’ abritera des entreprises du secteur manufacturier et de la construction.

Maurice aura prochainement son deuxième ‘business park’. Après Ebène, Business Parks of Mauritius Ltd (BPML) va cette fois s’installer à Rose-Belle. Toutefois, cette zone  ne ressemblera pas entièrement à celle  d’Ebène. En effet,  les compagnies évoluant dans le secteur des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) n’y seront pas aussi présentes qu’à Ebène. La direction de BPML confie que jusqu’à présent, ce sont surtout les entreprises évoluant dans le secteur manufacturier, la construction et de l’ingénierie légère qui semblent manifester plus  d’intérêt.

D’une superficie de 25 arpents, le « business par » de Rose-Belle  contient  vingt lots.  Le prix est  d’environ Rs 8 millions l’arpent.

« Il y aura certes certaines entreprises du secteur TIC, tels des BPO, mais ce business park sera beaucoup plus occupé par des  entreprises de construction, du secteur manufacturier et l’ingénierie  légère », nous explique Kishore Gujadhur, project manager chez BPML. « Il y avait de plus en plus de demandes de plusieurs entreprises pour s’installer à Ebène, mais l’espace commence à être insuffisant. D’où l’importance de la décentralisation », explique-t-il.

Le Rose-Belle Business Park abritera également un centre commercial, ainsi que d’autres « petits projets commerciaux », ajoute notre inbterlocuteur. Il faut également faire ressortir que ce projet date d’avant les élections de 2005. Rs 135 millions avaient été injectées pour le projet qui devait s’étendre sur 100 arpents. La direction de BPML se dit persuadée du succès de ce projet, car ce business park « comprendra toutes les facilités nécessaires pour permettre aux entreprises d’évoluer en tout confor », selon Kishore Gujadhur.