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On a testé Steers à Bagatelle
13 octobre 2013, 05:28
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On a testé Steers à Bagatelle

Si les critiques paient rarement leur addition, ce n’est pas notre cas. Chaque semaine, un journaliste de l’express teste, incognito, un snack, un restaurant, une discothèque ou un hôtel… Et il vous raconte tout.
Au terme d’une après-midi de shopping au centre commercial de Bagatelle, c’est un peu plus qu’un petit creux qui se fait sentir quand arrive 19 heures. Un casse-croûte s’impose, bon, consistant et servi rapidement. Direction les fast-foods. Décuplés par la faim, mes sens de la vue et de l’odorat captent immédiatement les appels du Steers. Ce restaurant fera donc l’objet de notre critique de la semaine.
Ambiance. Contrairement au Steers de Port-Louis, celui de Bagatelle est terriblement silencieux. Ni musique, ni écrans qui diffusent des vidéos. Si l’hygiène n’était pas irréprochable, on entendrait les mouches voler. Là, il n’y a que le bourdonnement des friteuses. Heureusement, les visages souriants des employés sauvent la face.
Service. Aimables, les employés… mais pas vraiment pressés. Pour un fast-food, c’est ennuyeux. Une demi-heure aura été nécessaire pour préparer et servir un burger accompagné de frites et d’un soda. Ce dernier aurait pu arriver plus tôt sur la table, histoire que le client ait au moins une paille à se mettre sous la dent pour patienter, mais il a préféré attendre dans le frigo. Mis à part ce problème de délai, le service est impeccable.
Le Couac. Les milk-shakes du Steers semblent remporter un franc succès, vu le nombre de personnes qui, comme moi, souhaitaient en commander. Je n’ai toutefois pas eu le plaisir d’y goûter, la machine qui les fabrique étant tombée en panne. Autre déception, les frites, partiellement assaisonnées et coupées en grosses lamelles, manquent de croustillant. De plus, elles sont servies dans une pochette en papier qui ne tient pas debout et où il est difficile de plonger la main pour piocher. Une assiette serait quand même plus pratique.
Rapport Qualité/Prix.
Un peu cher au regard de la qualité et de la quantité. Le prix du sourire ? On dit pourtant que ça ne coûte rien…
Prochaine Visite. Quand je n’aurai pas un bus à prendre.
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