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École primaire d’Henrietta : un problème de mœurs révolte des parents d’élèves
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École primaire d’Henrietta : un problème de mœurs révolte des parents d’élèves
Une enseignante en pleins ébats avec des «caretakers», un élève qui dit être victime d’attouchements... L’école primaire d’Henrietta serait la scène d’événements incongrus. Des parents remontés ont manifesté devant l’établissement.
«Ils ont tous vu». Des élèves de l’école primaire d’Henrietta auraient été témoins des ébats d’une enseignante avec des membres du personnel. Révoltés, une dizaine de parents ont manifesté devant l’école primaire d’Henrietta, vendredi 8 mars. Ils affirment également qu’un enseignant aurait fait subir des attouchements à un élève.
«Il y a beaucoup de magouilles dans cette école ! Il temps que la vérité éclate», lancent des parents.
Contacté par l’express, le ministère de l’Education s’est refusé à tout commentaire, indiquant qu’une enquête est en cours. La police affirme, quant à elle, que c’est la Child Development Unit qui se charge de cette affaire.
 
La mère d’une élève en STDV , présente devant l’école, hier, souligne que les enfants auraient rapporté, à plusieurs reprises, avoir vu «une enseignante en pleins ébats avec des membres du personnel de l’école» dans le store, pendant les heures de cours. «Les enfants jouent aux voyeurs, ils voient tous. Ils n’ont rien inventé. Ils donnent des détails précis», ajoute la mère.
Des propos que confirme Françoise Labelle, députée du MMM, présente sur les lieux hier. «On m’a rapporté qu’une enseignante a des rapports sexuels avec des caretakers dans le store», indique-t-elle à l’express. Elle a rencontré, dit-elle, la responsable de l’école primaire pour obtenir des informations supplémentaires.
Cette affaire en a également soulevé d’autres. Une mère explique ainsi que son fils «a refusé d’aller à l’école pendant deux mois l’année dernière. Il nous a dit avoir été victime d’attouchements». Elle poursuit qu’elle avait choisi, dans un premier temps, de ne pas aller de l’avant «pour ne pas gâcher la réputation de son fils».
Selon nos recoupements, l’enseignant mis en cause, qui aurait un comportement «difficile», aurait été transféré à plusieurs reprises. «Il paraît que ces deux cas ont rendu les parents furieux. Je vais définitivement soulever la question au Parlement pour avoir plus de renseignements», poursuit Françoise Labelle.
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