Il était une fois Le Petit Poucet. Tel un cor planté entre les deux doigts d’un seul pied, il s’est glissé entre Captain America et sa Mrs, après avoir fait l’AGOA pour rebooster l’excroissance économique via le commerce, selon Bison mauvaise langue affûtée. «Enn zimaz» d’anthologie qui n’a pas manqué de susciter des commentaires des disciples de Gargamel, qui l’ont méchamment comparé au Schtroumpf à Lunettes sur Face de bouc. 

Selon les détracteurs, voire bulldozers de notre grandissime Passe-Partout, il existe des problèmes de taille qui les rend chèvre. Notre chef d’Eutaaa aurait pu se hisser sur une caisse à savon, médisent certains, pour être à la hauteur des attentes. Car, il y a quelques jours encore, il menaçait de prendre Oba et sa mama de haut afin de leur dire le fond de sa pensée en ce qui concerne la position de l’Oncle Sam sur le conflit israélo-palestinien. D’aucuns l’ont également comparé à Sarcoco et ont regretté l’absence de notre Carla Rougie, sans qui le beau tableau est incomplet.

Mais pendant que notre bon Premier Mini fan de bolides navigue à bord d’Air Forceps One, ici-bas, la santé continue à se détériorer à tous les niveaux. Un ado qui contracte le VIH comme par désenchantement, des gouttes pour les yeux qui font déborder le vase, des bobos par-çi et l’Ebo par-là,  il y a de quoi se faire un sang d’encre de poulpe, même si la pêche à l’ourite est en galère.

Heureusement qu’il y a Jameel Père-ally, qui vole à la rescousse des orphelins. Même si les mauvaises langues, oui, encore elles, clament, sur un ton pas toujours paternel, que la priorité devrait être accordée aux petits locaux. 

Qui a dit qu’il ne fallait pas croire au Père Noël ?