Les sites de rencontre en prennent de la graine. Le téléphone rose est sonné. Les plages nudistes peuvent aller se rhabiller. Voici venir Politiquesutra, un club échangiste où l’on n’hésite pas à retourner son slip kangourou, à changer de partenaire comme de string, à tromper ses amours d’hier ou à pratiquer le massage verbal. De quoi tomber des nues.

Les membres de ce club très privé, frivoles à souhait, n’hésitent pas à faire sauter les boutons de la chemise pour avoir un ticket auprès des leaders batifoleurs. Les couples d’autrefois sont aujourd’hui adeptes de plans à trois voire plus. L’on n’hésite pas à caresser les «lake sat» dans le sens du poil pendant que les coqs, fans de danseuses brésiliennes, virent du bleu au rouge en un clin d’oeil ou en un battement de cils.

Sont également accueillis à bras ouverts : les «gro fey» qui s’effeuillent dans l’espoir de pouvoir se glisser entre les draps du pouvoir et de contracter une union. Dentiers acérés en avant, les papys qui font partie de ce club sortent également le grand jeu afin de satisfaire les envies des gérontophiles. Les cougars, elles, devront se contenter de débutants sans expérience qui viennent tout juste d’enfiler leur robe.

Les sado-masochistes ne sont pas en reste puisque certains n’hésitent pas à revenir au triple galop et à dos de cheval après qu’on les a jetés comme des serviettes pas hygiéniques. Elle est où, la censure ?