Ô drame ! Ô mélodrame ! Plus violent qu’un coup de foudre, plus assommant qu’un coup de massue : le coup de gueule de Maya. Dans un accès de rage folle, l’ancienne ministre de la Santé a chassé des journalistes de la Martyr Broadcasting Corporation (MBC). Dan et les siens en ont pris un coup dans les dents.

Tels des éléphants sans défense, ces reporters à qui l’on impose désormais des frontières n’ont eu d’autre choix que de plier bagage. Sollicité pour faire de la propagande, M. Callicancan a déclaré : «Contrairement aux autres journalistes, nous ne sommes pas habitués à recevoir un tel traitement. Tant de haine…»

Autre lieu, autre coup bas. Les slips ont damé le pion aux strings. Il semblerait que les beaux parleurs d’hier aient oublié leurs paroles de séducteurs aujourd’hui. Ils n’ont plus la force de courir les jupons, disent-ils. Raison pour laquelle ils ont aligné 49 hommes contre 11 femmes. Interrogés sur le pourquoi du comment de cet acte misogyne, les leaders ont déclaré : «Nous préférons les boxers.»

En attendant, certains sont bien loin de ces préoccupations. Nos derniers tuyaux pas toujours percés indiquent qu’une réveaulution se prépare. La cause ? «Des robinets à sec et des réservoirs remplis», dépleaure Monsieur O., assoiffé de réponses. Peu convaincu par  explications vaseuses de la Central Waste of Time Authority, il ajoute : «Ils tentent de noyer le poisson dans les nappes phréatiques.»