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Slip story

6 février 2015, 09:32

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Nouveau au rayon surgelé : le paquet de saucisses de la marque «Violeur». Commercialisée par la compagnie AsséTahé, cette charcuterie est composée de chair fraîche de gros porcs gérontophiles qui en ont après les vieilles dames. Interrogé, le boucher en chef a expliqué : «Ils avaient le feu au slip, il fallait les refroidir.»

 

Pendant ce temps, d’autres font la pluie et le beau temps ou l’inverse. Après que Xavier Duval a affirmé, sans slip of the tongue, qu’il voulait décourager la construction de nouveaux hôtels, voilà que le ministre des Finances annonce l’érection d’un monumental établissement sept-étoiles, style Made in Dubayy. Faudrait-il penser à un protège-slip pour éviter la fuite des déclarations contradictoires ?

 

Par ailleurs, hormis les touristes qui se font dépouiller pendant leur sleep, un autre sujet, very slippery, donne du fil à retordre aux autorités : la route Terre-Rouge- Verdun, qui perd peu à peu ses sous-revêtements. Il ne s’agit pas là de petits trous que l’on retrouve dans des slips kangourou, non Madame, non Monsieur, mais de grosses fissures. Du coup, les autorités craquent leur slip, elles cherchent des coupables. Elles accusent des boucs émissaires de les rendre chèvre. Tendus comme un string, ceux qui voulaient éviter de se mouiller doivent trembler dans leur slip de bain.

 

Le pandit, lui, a décidé de déposer les armes, de rendre les slippers. Il a mis la clé sous le paillasson «Not Welcome». Mais le boxer culotté, a-t-il vraiment dit son dernier mot ?