Jeudi c’était la Journée mondiale des toilettes. On ne rit pas, c’est primordial les toilettes. Ça empêche les femmes de se faire violer parce qu’elles doivent aller faire leurs besoins dans les champs, par exemple. Cela remonte l’estime de soi, car quand on a des latrines, on n’a pas l’impression de faire partie d’une sous-humanité qui ne possède même pas les bases pour une vie décente. Les toilettes font de nous des hommes civilisés. Pas de ceux qui se dévident dans une ruelle, pas des chiens qui marquent leur territoire. Mais des toilettes, si on pouvait en avoir des géantes pour y lâcher toute la m…. ambiante et tirer un bon coup la chasse d’eau, ce serait encore mieux. Il faudrait des pipi-rooms de la taille du Stade de France, parce que les candidats à l’urinoir, ils sont nombreux. À commencer par Daech (tiens, ça fait «daechéance»…) Boko Haram & Co ; qu’on ferait suivre directement par les Le Pen et autres Front national et extrêmes droites xénophobes, histoire qu’ils se battent un peu frontalement ; les armes (c’est quand même beaucoup plus dur de tuer des civils par centaines avec le manche d’un mop qu’avec des kalachnikovs) ; les bourreaux (tiens encore Daech) ; les miliciens (tiens, encore Daech) ; les tortionnaires (tiens, encore Daech) ; les sectes (tiens, encore Daech) ; pourquoi pas les religions, tentons un monde sans elles, vu ce que ça a donné jusqu’à maintenant ; les livres sacrés (oui c’est blasphème, mais se baser aujourd’hui sur des bouquins qui datent de 1 500, 2 000, 3 000 ou 5 000 ans pour nous dicter nos conduites et principes, c’est incohérent) ; les doctrines ; les dictateurs ; les dirigeants guerriers (dont Netanyahu, bien sûr), bref, tous ceux qui règnent par la terreur ; les pédocriminels… La liste n’est pas exhaustive, mais commençons déjà par eux, la vie sera plus belle. We need «toilet» them down!