Mais enfin Madame Aurore ? Une question nous brûle les lèvres supérieures. Comment se fesse-t-il que vous deviez «initier une enquête pour situer les responsabilités» au sein (pas le doudou, hein ?) de votre ministère après que la pub sur le coke a été censurée ? N’aviez-vous pas votre mot doux à dire ? Pourquoi en avoir fait tout un fion (pardon, foin) pour ensuite reculer ? Un peu couillon, non ? Que va en penser cette pauvre Madame Trisha, celle qui voit le monde en porno ? Quel bon coup de pub en tout cas pour Coca. Ils n’en demandaient pas tant.

Ce n’est pas qu’on soit pour l’exploitation du corps de la femme. Mais il faut arrêter de voir le mal partout. Parce que sinon, on va finir par voir des queues là où il y a des files d’attente. Des pénis dans des paquets de saucisses. Du liquide séminal à la place du gel douche. Des boules à la place de bonbons au chocolat. Un vagin sous le noyau d’une pêche, etc. La liste est longue (pas d’allusion sexuelle ici).

Passons du coke à l’âne. S’il y en a bien un qu’il faudrait censurer, c’est votre collègue Anil. On pense que ses lèvres (même pas pulpeuses) bougent trop. Sa langue nous dérange. Les «ânileries» qu’il débite sont de la zoophilie pour l’intelligence. Les vidéos dans lesquelles il apparaît devraient être classées X. Et si vous n’arrivez pas à lui clouer le bec, pensez à le conduire chez l’iyer Tiloute pour qu’il soit exorcisé.

Merci Madame.