Bientôt dans les salles obscures : Kabhi Khushi Kabhi Gham II. Dans le rôle principal : Hritik Roshi. Qui veut à tout prix construire une City (style Mohenjo-Daro) pour plaire à Anerood Bachchan. Mais Abhishek Pravind – alias Bachchan junior – ne voit pas cette manœuvre d’un très bon œil. Du coup, le projet est mort-né, a été ressuscité, re-tué, déterré, ré-enfoui, étouffé, enfoncé, défoncé, etc. Il pourrait faire l’objet d’un film appelé Dhoom VI, apprend-on.

Pendant ce temps, tel Mithun Chakraborthy dans Disco Dancer, le peuple ne sait plus sur quel pied danser. Il n’en a que faire de tout ce cinéma. Et a d’autres préoccupations que cette City qu’on veut lui léguer en héritage. Comme son porte-monnaie qui ressemble à celui de Raj Kapoor au milieu du mois. Et qui lui chante Awaara Hoon, le 15.

Ce qui préoccupe également le Mauricien, c’est la drogue. Comme Jadoo (NdlR, la version indienne d’E.T.) dans Krrish, il ne comprend pas trop ce qui se passe ici-bas. Il voit défiler des gens devant une commission et se demande à quoi tout cela va bien pouvoir servir, concrètement. Il voit des policiers-trafiquants qui se font arrêter mais surtout des jeunes qui finissent comme Devdas (version shootés au synthé).

Invité à commenter l’actualité, Roshan a déclaré qu’elle était (c)hritik.