Rah-rah-ah-ahah-ah. Donnenn-ti-mama. Ayo-mo-papa. Mo gaga alala. Tel un coq bleu qui se transforme en soleil orange, Al. Wong s’est «transfugé» en Lady Gaga mardi, au Parlement.

Front plissé, sourcils froncés, traits marqués, face cabossée, calmement énervée, Lady Gaga semblait réclamer un laxatif. Elle a ainsi eu bien du mal à répondre aux questions de l’opposition en ce qui concerne la National Empowerment Foundation, notamment.

Se noyant dans des explications vaseuses, Lady Gaga s’est plongée dans l’embarras. Elle avait visiblement du mal à garder la tête hors de l’eau. Niveau crédibilité, elle y a laissé des écailles. À tel point que ses collègues ont dû organiser une conférence de presse juste après pour expliquer ce qu’elle ne voulait pas dire.

Forte de son succès, Lady Gaga sera par ailleurs sur la scène du festival Big Faya organisé par Lepep, ce week-end. À ses côtés, le groupe Majakaro, DJ PM imposte, Master 270 wooden cheques, VJ (vidéo jockey) 323 000 volts et 50 Cents d’augmentation, entre autres. Un buffet sera mis à la disposition des festivaliers. Au menu : bambara des îles pané aux biscuits.

D’autres stars internationales feront également le déplacement lors de cet événement grandiose. Parmi elles, le (B)Angolais Álvaro, qui entonnera son tube interplanétaire «Oh chihuaha» en compagnie de son pote Ivan. Suivi d’une reprise du succès local «Ameenah Ameenah».

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