T’étais où Doudou ? Peu importe que tu sois un amoureux qui cherche à se faire pardonner ou une pub pour papier toilette. Tu as fait souffler un #doudoux vent de fraîcheur sur le pays.

Jusqu’ici, nos yeux #doudouloureux avaient droit à des langues frétillantes, des corps étrangers au Parlement. On se contentait des frasques verbales d’un ministre qui tenait des propos incendiaires, on a toujours des #doudoutes sur sa santé mentale. Les critiques, visiblement, ne leur font nichon ni froid à ces gens-là.

Comme si cela ne suffisait pas, le PM a #adoudoubé deux paires de #doudou, leur offrant des postes de ministre et de vice-Premier ministre. Pas à cause de leurs compétences, disent des Mauriciens, mais à cause de leur appartenance ethnique. Le hasard veut que l’une d’entre elles s’appelle Jadoo (dou). Espérons qu’elles ne se contenteront pas d’être des poupet #doudoukia.

Au Parlement, mardi, c’était aussi la #doudouche froide. Aucun de nos honorables élus n’a cru bon d’évoquer le cas de Dinesh, coincé dans un entrepôt après qu’un incendie a éclaté à Shoprite. Ils n’ont pas parlé du sort de la famille, du combat des pompiers. Préférant s’insulter, se toiser, balancer des futilités. Dire qu’ils sont payés par nos sous. Boukou #doudouk.

Pour toutes ses raisons, #Doudou, on préfère voir des banderoles comme toi, plutôt que ces oriflammes aux couleurs politiques qui enguirlandent la ville de Quatre-Bornes, à tel point que notre île ne sait pas plus où donner de la tête, li guet #doudouri tir kari. #Doudoucement, croient-ils sérieusement que ça va influencer le vote des gens ? Ils se fourrent #doudoublement le doigt dans l’oeil.