Communiqué du bureau de son excellence, Mme la présidente:

Oui, c’est encore moi. Je vous l’avais bien dit, je ne vais pas me casser, bande de kaspat. Oui, j’ai utilisé le kas sur la carte pour m’acheter des bijoux, et alors ? Kas enn poz, merci de ne plus kas nisa.

Vous vouliez me faire partir alors qu’il y en a plein, au Parlement notamment, qui traînent des kasrol. Je pense notamment à l’appendice de Lalang qui voulait kas paké en envoyant des images à une jeune femme. D’autres «collègues», anciens et présents, mériteraient d’aller dan kaso ou qu’on kas zot lérin à coups de boule kaskot. Au lieu de ça, ils continuent à kas dan ta.

Pourquoi L’imposte ne demande-t-il pas à ces casse-noix de partir ? Lui-même a l’habitude de se faire kas-kasé par les Mauriciens, qui l’accusent d’avoir kas kontour pour devenir PM.

Et puis, il y a l’autre là, celui qui aime bien kas kou, faire dodo dans les fonctions officielles. Qu’attend-il pour me soutenir une fois de plus, face à tout le monde ? Dites-lui de kas pares et d’arrêter de kas kolé. J’ai de quoi kas lélan de tout le monde, sachez-le. Il suffit que je sorte les gros dossiers pour kas konté.

Oui, je vous le répète, surtout pour les mauvaises langues qui critiquent mon maquillage kas lizié. Je n’ai nullement l’intention de kas pikan.

Cordialement, La dame qui joue à kas-kas-nikola.