(Conseil de lecture : allez sur YouTube, lancez du Céline Dion)

On a compris tous tes maux, on a compris, merci

Fouka et menteur, c’est ainsi par chez toi

Que les choses ont changé, que tu as fané

Que le temps où t’étais esclave, c’était le temps d’avant

Que si tu «zap» et lasses, notre patience aussi passe

Il faut que tu saches

On n’ira pas chercher ta tête si tu l’emportes ailleurs Même si là-dedans, d’autres dansent tes heures On n’ira pas chercher ta langue dans les froids, dans les flammes

 On te jettera dehors, pour (pas) que tu nous emmerdes encore

Que tu nous emmerdes encore Fallait pas commencer, à parler, à menacer Fallait pas tant donner, nous, on sait pas jouer

On nous dit qu’aujourd’hui, on nous dit que les autres font ainsi

Nous ne sommes pas les autres, non, non, non Avant que l’on se fâche, avant que tu ne t’arraches

On veut que tu saches On n’ira pas chercher ta tête si tu l’emportes ailleurs

Même si là-dedans, d’autres dansent tes heures

On n’ira pas chercher ta langue dans les froids, dans les flammes

On te jettera dehors, pour (pas) que tu nous emmerdes encore

On trouvera des langages pour crier notre rage

On fera tes bagages, on y mettra des oranges Les salaires magiques, des claques de Sesungkur

On te dira bye sans remords pour (pas) que tu nous emmerdes encore

On t’inventera Prince pour que tu ne reviennes (plus)

On te donnera des valises remplies d’or Pour (pas) que tu nous emmerdes encore