Tout a commencé par un Wordbuster* : des «gopia», des «batiara», lancés à la tête de ceux qui se prennent pour des Prince of Persia, des King of Tara, à Plaine-Magnien et Manhattan/Yorktown. Des Mauriciens en colère ont lancé : Loosen your tie, à ceux qui se croient tout permis alors qu’ils sont payés par nos Fools Gold. Les indignés ont Break The Silence.

Alors que souvent, il faut être Well Connected pour obtenir du travail, alors que c’est le Winter Chill dans le porte-monnaie, alors que le compte en banque est Toothless, alors que ceux qui gouvernent tentent d’étouffer la Freedom of Speech, que les plus démunis prient Padre Pio pour ne pas sombrer, une Wave de protestations déferle sur le pays. C’est la colère Gone Rogue. L’Opera Royal, l’Overdose du ras-le-bol. À bout, certains ont dit : We Light The Fire en utilisant des pneus.

Pendant ce temps, d’autres voyagent à nos frais, ressentent l’appel de Dubaï, du Cash Call de la première classe en Jet Path. Kailesh, The Jazz Singer, nous lance des «Quand je t’aime». La MBC, also known as The Riddler, essaie de manipuler les plus crédules. L’Undercover Agent, plus connu sous le nom de «chatwa», est partout, il envahit les réseaux sociaux.

Le Captain Gone Wild et ses subalternes, du haut de leur Power Tower, de leur Citadel, n’ont pas compris l’importance du Drop Kick au derrière. Ils se prennent pour Massimo 365 jours par an, parlent de Grand Vision pour le pays alors que les gens souffrent, les «ti-dimounn, moyen-dimounn, tou-dimounn», sauf les mieux lotis. Leur arrogance incite les révoltés à Do or Dare. Eux se servent de G.I Joe, Sergeant Yank et leurs Whipping Boy (s) qui obéissent à tout aveuglément pour faire régner la loi de la peur.

Se croyant tout permis, ils veulent désormais contrôler le sport roi. Pour favoriser, dit-on, leur Partner In Crime. De quoi raviver l’Imperial Rage du citoyen, de quoi alimenter la turbine de la Volatile Energy et pas seulement dans Eight Cities.

À ce train-là, ils doivent se demander s’ils doivent réserver leur ticket à bord du Bye Bye Rocket. En se disant : Ala ou alé lot kout.

*Les noms de chevaux cités dans cet article sont ceux disponibles sur le site de la MTCSL