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Reportage
Ces maisons coloniales: se cherchent une nouvelle âme
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Ces maisons coloniales: se cherchent une nouvelle âme
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CarouselDans une capitale historique, maintes fois centenaire, le béton a pris le dessus. Par souci de coût, par dédain du vieux, par l’envie de moderniser à tout-va. Pourtant, telles des cerbères d’une autre ère, quelques maisons coloniales défient le temps qui passe et qui s’oublie, si vite. Outre celles qui ont su retrouver leur lustre d’antan, d’autres ne veulent pas être reléguées aux oubliettes d’un Port-Louis qui, parfois, tourne le dos à ses trésors architecturaux. Elles, qui ont été bâties par des artisans parfois à mains nues ; elles, qui cultivent mille souvenirs derrière portes et volets clos ; elles, qui ont vu passer familles, repas conviviaux, voire disputes et réconciliations. Ces maisons se dressent encore fièrement, et recherchent une nouvelle âme, et non pas une identité, car elles l’ont, bien ancrée. Alors que l’emblématique maison de la rue St-Georges cherche repreneur, elle qui a eu un pied dans la modernité avec «Le Lambic», ayons la nostalgie de ses autres jumelles qui prouvent au quotidien que le temps va… mais que tout ne s’en va pas…
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