Publicité
Nou Lar Nou Lamizik
Émission spéciale Pani Nai Ba
Par
Partager cet article
Nou Lar Nou Lamizik
Émission spéciale Pani Nai Ba
Après 43 ans d'absence, la comédie musicale culte Pani Nai Ba fera son grand retour sur scène à l’occasion de l’International Bhojpuri Mahotsav 2025, prévu ce samedi 2 août à l’auditorium Octave Wiehé à Réduit. À cette occasion, Prittiviraj Joyram, directeur et producteur du spectacle, était dans les studios de l’express pour l’émission Nu Lar Nu Lamizik, où il est revenu sur la préparation et l’importance de cet événement exceptionnel.
Ce rendez-vous s’annonce comme un moment fort en émotions et en souvenirs pour les passionnés de culture et de musique bhojpuries. «Que d’eau a coulé sous les ponts depuis 1982… Pani Nai Ba revient aujourd’hui pour faire revivre un moment historique», souligne Prittiviraj Joyram. Créée en 1982, cette pièce musicale avait marqué toute une génération par sa richesse artistique, ses danses entraînantes et son ancrage culturel profond. Pour Prittiviraj Joyram, ce retour est avant tout une mission de cœur : «Samedi, nous allons faire revivre à tout le monde l’émotion et la magie de Pani Nai Ba. Ce sera un moment unique.»
Le projet a vu le jour grâce au soutien du National Arts Fund, seul organisme à avoir approuvé et financé sa réalisation. «C’est grâce à ce fonds que nous pouvons concrétiser ce rêve», confie-t-il.
L’édition 2025 de Pani Nai Ba rassemblera des artistes mauriciens talentueux : chanteurs, musiciens, comédiens et danseurs. L’histoire originale sera revisitée à travers une mise en scène contemporaine, tout en respectant l’esprit de l’œuvre. Pour la première fois, des enfants monteront également sur scène, apportant une touche de fraîcheur et d’énergie au spectacle. Les répétitions, qui se tiennent quotidiennement, témoignent de la rigueur et de la passion investies dans ce projet.
Plus qu’un simple spectacle, Pani Nai Ba se veut un pont entre les générations. «Je veux que les jeunes redécouvrent et vivent eux aussi ce que Pani Nai Ba a apporté à notre culture. C’est un héritage à transmettre», conclut Prittiviraj Joyram.
Publicité
Publicité
Les plus récents




