Carousel

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…

• 

  La ville de Quatre-Bornes a maintes fois changé de panorama et a même vu traverser le train. Mais elle n’avait jamais été aussi radicalement scindée, de part en part, comme désormais avec le Metro Express sur toute la route St-Jean. Aujourd’hui, la Ville des fleurs n’est plus qu’une ville de circulation dense, ralentie, entre chauffeurs d’autobus pressés, automobilistes enragés et piétons désorientés. Mais le métro, lui, y passe à son rythme, délétère. Cette route principale, qui est le nerf de la guerre du commerce, est devenue un champ de bataille, désespérant les commerçants, qui, comme nous vous le disions dans notre reportage du lundi 2 octobre, ne savent plus à quel saint se vouer pour que les clients viennent et puissent se garer. Un manque à gagner principalement dû à l’absence d’aires de stationnement et également une carence en moments de sociabilité. Plus le temps de faire la causette ; faut vite repartir à cause du trafic et des problèmes de parking. Et pourtant, le métro passe lui et, même s’il ne siffle pas trois fois, il trace sa route en maître des lieux…