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Saisie de 2,5 kg de haschich
La libération sous caution du garde-côte refusée
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Saisie de 2,5 kg de haschich
La libération sous caution du garde-côte refusée
Dans un jugement rendu, jeudi, le juge Raj Seebaluck a rejeté la demande de libération sous caution d’Ashwini Huzar Futty, un garde-côte accusé de possession de drogue dangereuse, soit du haschich d’une valeur de Rs 7, 7 millions, en vue de sa vente. L’accusé sera traduit devant les Assises, bien qu’il ait plaidé non coupable. La date de l’examen de l’affaire n’ayant toujours pas été fixée, la cour a souligné le risque élevé de fuite, compte tenu des pénalités sévères associées à ce type de crime et du fait qu’il soit un habitué de la mer.
Ce navigating officer de la National Coast Guard a été arrêté, le 16 mai 2022, dans une villa à Mont-Choisy alors qu’il était avec sa compagne, Elisabeth Garro, une Française de 67 ans, qui travaille comme agent immobilier. Lors de leur arrestation, 2,5 kg de haschich, estimé à environ Rs 7,7 millions, ont été saisis.
Lors de l’audience, le représentant du commissaire de police a souligné le caractère sérieux de l’accusation, notant que la drogue saisie avait une valeur substantielle sur le marché. De plus, le fait que le procès du constable soit déjà devant la cour d’assises démontre l’importance et la complexité de l’affaire. En réponse, la défense a plaidé en faveur de sa libération sous caution, mettant en avant son bon comportement passé, son statut de navigating officer du NCG avant son arrestation, ainsi que sa situation familiale, soulignant qu’il vit avec sa mère âgée et qu’il est prêt à se conformer à toutes les conditions de libération sous caution.
Cependant, après avoir examiné tous les éléments présentés, le juge Seebaluck a conclu que les risques associés à la libération sous caution de l’accusé sont trop importants. Le juge a rappelé la nécessité de préserver l’intégrité du système judiciaire et de garantir que les accusés répondent à la justice, en particulier dans les affaires aussi graves que celle-ci. Le procès sera appelé pro-forma le 29 mai à la suite d’une motion de la défense pour la communication d’informations après que le constable a plaidé non coupable.
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