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Indépendance de Maurice
Le groupe UBP revisite la chanson «Lete ek liver»
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Indépendance de Maurice
Le groupe UBP revisite la chanson «Lete ek liver»
Dans le cadre des célébrations du 56e anniversaire de l’Indépendance de Maurice, le groupe United Basalt Products (UBP) a lancé une nouvelle version de la chanson de Bruno Mooken, Lete ek liver. Le public a hier pu découvrir cette version repensée par le groupe UBP et le clip, en collaboration avec des artistes très connus tels que Blakkayo et The Prophecy, ainsi que des étoiles montantes de la musique locale, Mélanie Pérès et Emanuel Desroches.
Après une campagne centrée sur l’humain pour célébrer les 70 ans de la marque, le groupe UBP propose cette initiative originale pour mettre en avant les 56 ans de progrès et de réussite de Maurice. Avec la version revisitée de cette chanson, le groupe met en lumière ses trois marques labellisées Made in Moris, notamment UPB, Premix et Drymix, toutes impliquées dans la fabrication des matériaux de construction.
Les paroles entièrement retravaillées soulignent le lien entre le groupe et Maurice, tout en transmettant un message d’unité, de fierté et de patriotisme. «Le groupe UBP voulait célébrer l’anniversaire de l’Indépendance du pays à travers un projet fort et émouvant qui, nous l’espérons, touchera nos concitoyens à Maurice, ainsi que la diaspora. Cette initiative musicale dépasse ainsi le cadre d’un simple hymne commercial, se voulant un véritable symbole d’unité et de rassemblement pour chaque Mauricien. Les paroles de la nouvelle version de Lete ek liver reflètent la force et la résilience de notre nation, tout comme celle du groupe UBP. Comme le suggère le refrain, nous avons gravé le nom de notre pays dans la pierre», explique Shirley Dulaurent, Brand Marketing Manager du groupe UBP.
Les artistes ayant participé à ce projet ont été contactés par Jorez Box. C’est Murvin Clélie de The Prophecy qui s’est occupé de l’arrangement musical. Et c’est aussi dans son studio à PlaineMagnien que la chanson a été enregistrée. «Le groupe avait envie de reprendre ce classique de 1985 et lui apporter une touche plus moderne. Et pour ne pas déformer la chanson, j’ai gardé la mélodie et je l’ai agrémentée de sonorités modernes. Je chante aussi sur le morceau. Cela a été une bonne expérience. Le tournage du clip s’est déroulé à Bambous, dans les locaux d’UBP. Ce morceau a une signification particulière pour ma famille. C’est un classique qu’on écoutait souvent à la maison et je pense que mon papa, qui était laboureur, se retrouvait dans cette chanson. À l’origine, cette chanson montrait comment les gens d’antan vivaient et luttaient dans la vie. Lete ek liver reflète aussi le courage et l’unité, et la nouvelle version a gardé ces aspects.»
Pour Emanuel Desroches, qu’on retrouve à la guitare et à la voix, Lete ek liver est quasiment une chanson patrimoine. «J’ai toujours été fan de ce morceau. Le titre original fait, pour moi, partie de notre patrimoine musical. Avec la nouvelle version, le ton est différent. Elle est moins mélancolique, plus moderne, et elle met en avant l’unité et le patriotisme, ce qui colle bien avec la fête de l’Indépendance.»
Melanie Pérès a tout de suite accepté le projet quand elle a su de quelle chanson il s’agit. «Lete ek liver est un classique. Et quand j’ai su que j’allais collaborer avec Blakkayo, Emanuel Desroches et The Prophecy, cela m’a encore plus plu. Et en effet, tout s’est bien passé. Travailler avec des artistes tels que Blakkayo et The Prophecy m’a beaucoup apporté. Ils m’ont donné beaucoup de conseils. Concernant la nouvelle version, je dirais que cette chanson est un appel à la solidarité.» Elle ajoute : «Je suis un fan des chansons de Bruno Mooken et Lete ek liver est un morceau qui me touche particulièrement. Je ne suis pas née avec une cuillère d’argent dans la bouche, kouyer mem pa ti ena. Mon papa aimait écouter cette chanson. Et à chaque fois que je l’écoute, elle me fait penser à lui et à quel point il s’est sacrifié pour moi. Cette chanson est toujours d’actualité. Séki éna palé partazé, séki péna pé gagn malad latet. Quand j’ai vu le texte de la nouvelle version, j’ai accepté de participer à ce projet. Les paroles parlent des travailleurs et de la nation. Et je trouve que c’est une bonne chose qu’on mette les travailleurs en avant pour l’Indépendance.»
La nouvelle version de Lete ek liver est à découvrir sur les pages Facebook d’UBP, de Premix et de Drymix, ainsi que sur le compte YouTube d’UBP et à la radio.
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