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Prison
Le haut gradé qui attire toujours les foudres
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Le haut gradé qui attire toujours les foudres
[Photo d'illustration]
Ce haut gradé très controversé du centre pénitentiaire a encore frappé. Une enquête a été enclenchée, une fois de plus, après que le commissaire des prisons ait reçu une lettre faisant mention de ses frasques.
Le haut gradé, qui fait souvent parler de lui, a rejoint le Mauritius Prison Service après un passage dans la force policière. Lorsqu’il a soumis sa candidature à la Disciplined Forces Service Commission (DFSC), il a omis de mentionner qu’il avait été impliqué dans un accident de la route alors qu’il conduisait un véhicule de la police sous l’influence de l’alcool. Il a été condamné à payer une amende. Mais après que la DFSC ait eu vent de ce subterfuge, le principal concerné a été suspendu de ses fonctions pour une période de 15 jours. Cependant, il est à noter qu’aucune mention de cette suspension n’apparaît dans le dossier du haut gradé de prison. À la place, un congé de maladie de 15 jours y a été inséré.
Plus récemment, le haut gradé a fait une demande de prêt auprès de la Mutual Aid. Des irrégularités ont été constatées sur sa fiche de demande et le personnel lui en a fait la remarque. Cela l’a mis hors de lui et il aurait insulté le personnel de la Mutual Aid. L’affaire a encore une fois fait grand bruit et une lettre a même été envoyée au bureau du commissaire des prisons pour demander des sanctions à son encontre. Cependant, étant donné qu’il est dans les «secrets des dieux», ses collègues savent pertinemment bien qu’aucune sanction ne sera prise contre lui. Cela, car le haut gradé est celui qui a tout organisé afin que la petite escapade amoureuse déguisée en voyage d’affaires pour son collègue, un autre haut gradé, et une agente de prison, se déroule bien à l’île Rodrigues. Plusieurs écarts de conduite du haut gradé sont mis de côté afin de le protéger car s’il sombre, d’autres têtes tomberont. Une source au sein de la prison a affirmé ne pas être au courant de ces allégations.
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