En une de l'express : Condamnés à attendre,à espérer: Les ailes brisées des enfants d’Agaléga; Autre titre: Chez les Ramsahaye à Tranquebar: Cinq mois de silence après l’effondrement; D’ex-collège Trinity à maison de retraite: Des voisins pas contre mais peu au courant.

Condamnés à attendre,à espérer: Les ailes brisées des enfants d’Agaléga

• Laeticia Laurence, candidate de «School Certificate»: «Le gouvernement doit accorder plus de considération à notre éducation. Venir à Maurice n’a pas été facile et retourner à Agaléga ne le sera pas non plus. Une grande piste a été construite, mais il n’y a pas d’avions. Nous devons attendre qu’il y ait de la place, koumadir sarite.»

• Les parents d’Ezéchiel Poulay, un autre élève de SC, ont dû acheter des uniformes, juste pour un mois et doivent trouver l’argent du bus tous les jours pour leur fils, toujours sans pass étudiant.

Chez les Ramsahaye à Tranquebar: Cinq mois de silence après l’effondrement

• Kamlawtee Ramsahaye et sa famille envisagent des actions juridiques pour réclamer réparation.

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D’ex-collège Trinity à maison de retraite: Des voisins pas contre mais peu au courant

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