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Confidentiels
L'express leaks du dimanche 20 juillet au vendredi 25 juillet 2025
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Confidentiels
L'express leaks du dimanche 20 juillet au vendredi 25 juillet 2025

Plongez au cœur de l'actualité avec l'express, où nous vous dévoilons en exclusivité les derniers bruits de couloir, les buzz les plus récents et les scandales les plus retentissants que d'autres vous cachent. Restez informés et découvrez les dessous des événements qui façonnent notre société.
«BoM alert»
Le chassé-croisé larvé entre le gouverneur de la Banque de Maurice (BoM), le First Deputy Governor et le Second Deputy Governor perdure. Après notre confidentiel de samedi dernier, l’un des deux nous a fait parvenir cette réponse : «La Banque de Maurice se réfère à un article en date du samedi 19 juillet 2025, intitulé ‘BoM SAGA’ sous la rubrique Confidentiels, à l’effet, entre autres, que ‘c’est au tour du First Deputy Governor, Rajeev Hasnah, de faire l’objet d’accusations de mauvaise conduite impliquant un membre du personnel des Ressources humaines’. La Banque tient à faire ressortir que le First Deputy Governor ne fait nullement l’objet d’une quelconque accusation de mauvaise conduite.» Cette réponse, qui vient indirectement confirmer l’accusation portée contre le Second Deputy Governor, Gérard Sanspeur, et qui vise à exonérer le First Deputy Governor, ne précise toutefois pas qui pourrait mener l’enquête… si ce n’est le bureau dirigé par Rajeev Hasnah lui-même. Le Prime Minister’s Office suit tout cela de très près et serait sur le point de trancher. Ces différends, qui entravent le bon déroulement des travaux à la BoM, ont également un impact négatif sur la State Bank of Mauritius, qui attend toujours de connaître le nom de son chairman et de son Chief Executive Officer…
Soucis de santé du banquier
Officiellement, Éric Freymond (photo) s’est donné la mort à 67 ans, rattrapé par un scandale financier mêlant trahisons, milliards et haute société. Mais dans les coulisses, ses proches évoquent tout autre chose : des soucis de santé, un état dépressif latent, des douleurs physiques persistantes. «Il n’était plus lui-même ces derniers mois», souffle un ancien collaborateur. Pendant que la presse internationale se focalise sur le conflit avec Nicolas Puech – héritier d’Hermès – et les six millions d’actions litigieuses, c’est un tout autre pan de l’affaire qui refait surface à Maurice. Ici, dans les cercles discrets de l’ancienne zone franche, on se souvient du Freymond des années 2000 : celui qui faisait confiance à Ramalingum Rungassamy, alias Mamé, pour transférer des fonds depuis la Suisse.
MTPA : aucun changement
Plusieurs sources au sein de la Mauritius Tourism Promotion Authority (MTPA) font état d’une situation qui refuse d’évoluer positivement. Depuis plusieurs semaines, des allégations visant la nouvelle direction circulent dans la presse, évoquant des gaspillages à divers niveaux. Le ministère est en alerte et aurait discrètement lancé une enquête.
L’épouse règne en maîtresse
Ce qui se passe dans un collège d’État fait grincer bien des dents. Derrière les grilles de l’établissement, un climat délétère s’installe, nourri par des jeux d’influence, des ambitions démesurées et des silences complices. Plusieurs membres du personnel – enseignants comme administratifs – dénoncent une situation devenue tout simplement… inacceptable.
Au cœur de la tourmente : l’épouse d’un député nouvellement élu. Présente de manière informelle mais omniprésente, elle semble régner sur l’établissement, avec la bénédiction tacite de la rectrice par intérim – une proche de l’ancien régime – qui s’est transformée, selon certains, en exécutante docile.
Toilettes sales
Un ministre, en visite dans un organisme parapublic, s’est plaint de l’état des toilettes. La direction s’en est alors prise aux agents d’entretien, qui revendiquaient une révision de leurs conditions de travail.
Un CEO dans la mouise
Ce dirigeant s’est pris une raclée d’un ministre récemment. Rien ne va plus au sein de l’organisme qu’il dirige. Il semble s’être endormi sur ses lauriers et l’innovation attendue n’est jamais venue. Résultat : le ministre ne s’est pas privé de lui dire ses quatre vérités – en public. Pris de court par cette salve de critiques, le CEO ne sait plus à quel saint se vouer depuis cette déculottée. Il remue ciel et terre et essaie par tous les moyens de redorer son blason.
Congé forcé
Plusieurs anciens hommes forts de l’ex-CP Dip ne dorment plus depuis quelques semaines. Certains ont pris des congés maladie pour éviter les quolibets de leurs collègues, bien moins favorisés qu’eux sous l’ancien régime.
Malaise au sommet
Il devait être l’un des temps forts de la soirée. Tout juste nommé à un poste non exécutif au sein d’une structure flambant neuve, ce poids lourd du privé figurait à l’agenda pour une prise de parole très attendue. Mais voilà que, peu avant son intervention, l’intéressé a été victime d’un léger malaise. Sur les conseils appuyés de ses proches – et d’une VVIP dont la présence n’est pas passée inaperçue – il a discrètement quitté les lieux, direction son domicile. La réception, elle, a suivi son cours dans une ambiance plutôt chic, devant un public d’initiés. L’intéressé, dit-on, se remet bien.
Avocats de l’opposition
Dans les archives de la Cour suprême, on constate que les avocats devenus Queen’s Counsels étaient alors dans l’opposition, et non ministres, comme c’était le cas de SAJ et de sir Veerasamy Ringadoo. Selon cette tradition, un ministre ne peut être promu Senior Counsel quand il siège au cabinet. D’autres, cependant, pensent autrement…
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