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Réclamations de Rs 150 m pour faute lourde
L’inspection de la vidéo intime de Doomila Moheeputh au cœur des débats
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Réclamations de Rs 150 m pour faute lourde
L’inspection de la vidéo intime de Doomila Moheeputh au cœur des débats
Doomila Moheeputh affirme que la diffusion de cette vidéo intime sur les réseaux sociaux a porté atteinte à sa réputation.
La plainte en réclamation de Rs 150 millions déposée par Doomila Moheeputh pour faute lourde présumée dans la fuite d’une vidéo intime issue de son téléphone portable saisi par la Special Striking Team (SST) a été appelée hier devant la Master’s Court de la Cour suprême. La plainte vise l’État, le commissaire de police Anil Kumar Dip, le Deputy Commissioner of Police Heman Jangi, le surintendant Ashik Jagai et la policière Jamac Foolchand de la SST, tous cités comme défendeurs.
Pour leur défense, ces derniers ont soumis une série de 96 questions à Doomila Devi Moheeputh, lui réclamant des preuves tangibles des allégations formulées. Ils réclament l’original de la vidéo intime de Doomila Devi Moheeputh, qui est au centre de l’affaire. L’affaire a été renvoyée au 20 février pour que la plaignante fournisse ses réponses. Les défendeurs exigent des détails précis, y compris l’heure, le lieu et la durée de cette vidéo, pour établir la responsabilité de la Woman Police Constable Jamac Foolchand et du surintendant Ashik Jagai dans sa fuite présumée.
De plus, ils interrogent les circonstances de l’intrusion alléguée de membres de la SST dans la résidence de la plaignante et demandent des explications sur la manière dont ils auraient pénétré par effraction, franchi la porte et les murs de sa maison. Leur requête s’étend également à l’inspection de documents relatifs à la saisie des portables de la plaignante et de son compagnon, Me Akil Bissessur.
Par ailleurs, ils souhaitent comprendre l’impact psychologique de la perquisition sur la plaignante et requièrent des preuves détaillées des actions présumées «injustes, malveillantes, oppressives et illégales» de la SST envers elle. Doomila Moheeputh, dans sa plainte, a souligné les préjudices subis en raison de la diffusion de cette vidéo intime sur les réseaux sociaux pendant que leurs téléphones portables étaient en possession de la police. Elle affirme que ces actes ont gravement porté atteinte à sa réputation, laissant des séquelles psychologiques et morales durables.
L’affaire sera de nouveau appelée le 20 février 2024, date à laquelle de nouvelles révélations pourraient émerger.
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