«L’express» a également tenté d’avoir une interview de Navin Ramgoolam, depuis plusieurs jours. Voici les questions envoyées, restées sans réponse.

1.À moins de deux semaines des élections générales, comment voyez-vous l'ambiance sur le terrain ?

2.La chanson Ale Navin est devenue un hit que les enfants reprennent allègrement. Pensez-vous quelle aura un effet similaire au Vire Mam de 2014, quand l'électorat avait mis fin à votre règne comme PM ?

3.Quels sont les principaux signes de l’usure du pouvoir ?

4.Votre manifeste n’aborde pas directement la question du Best Loser System. Pourquoi ?

5.Rien non plus sur la dépénalisation du gandia. N’est-ce pas une mesure progressiste pour contrer les drogues dures et les drogues synthétiques ?

6.Avez-vous appris comment mieux gérer votre partenariat avec Paul Bérenger ; un partenariat que les adversaires tentent souvent de mettre à mal ?

7.Expliquez-nous la logique de placer Shakeel Mohamed comme le numéro 3 de l’Alliance du changement ? Comment cela est-il accueilli par les instances travaillistes et par les partenaires de votre alliance ?

8.Rishi Bhadain dit que le régime Jugnauth est déjà mort et qu’il faut tout faire désormais pour vous barrer la route. Êtes-vous de ceux qui croient que LInion Reform vient diviser les votes dans l’opposition ou est-ce une alliance qui prône une troisième voie «ni Navin, ni Pravind».

9.Dix ans de traversée du désert, comment entrevoyez-vous le reste du parcours à abattre ? Quelles sont les leçons retenues ?

10.Pouvez-vous rivaliser avec les Diego Dollars et autres financements qui seront brandis par l’Alliance Lepep ? Redoutez-vous leur utilisation de l’appareil d’État ?

11.Un mot de la fin… (We should add more on 14e mois and «Missie Moustass», as well as lessons learned since 2014).