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Phoenix

Un jeune avocat arrêté pour possession de drogue synthétique

19 mai 2024, 13:00

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Un jeune avocat arrêté pour possession de drogue synthétique

Un avocat, habitant Bassin, Quatre-Bornes, a été arrêté dans l’après-midi du 17 mai. Il était dans sa voiture à Phoenix en compagnie d’un homme de 33 ans qui habite la région.

L’Anti Drug and Smuggling Unit de la division centrale a saisi dans le véhicule : 27 feuilles de cannabis synthétiques ; quatre seringues jetables dans leur emballage d'origine ; trois sachets en plastique refermables et deux sachets en plastique transparents contenant des cannabinoïdes synthétiques ; 157 graines de cannabis ; un morceau de papier aluminium découpé en carré et un gobelet en papier contenant des morceaux de papier d'aluminium découpés, suspectés d'être utilisés pour l'emballage de drogues dangereuses ; une somme de Rs 500 suspectée de provenir de la vente de drogues ; un conteneur en plastique fermé contenant une quantité significative de matière végétale suspectée d'être du cannabis synthétiques ; une boîte contenant 20 sachets de thé suspectés d'être utilisés pour la préparation de drogues, et un conteneur avec une certaine quantité de liquide incolore et odorant suspecté d'être utilisé pour la préparation de drogues.

Leurs domiciles ont ensuite été fouillés. Trois cigarettes artisanales partiellement brûlées à une extrémité, suspectées d’être du cannabinoïdes synthétiques mélangés à du tabac, ont été saisies chez l’avocat et rien d'incriminant n'a été trouvé chez le trentenaire.

Le jeune avocat, qui avait prêté serment le 20 janvier 2023, a déjà fait parler de lui dans le passé. Un autre avocat et lui avaient payé Rs 300 par personne pour le ticket d’entrée d’une soirée spéciale dans une boîte de nuit de Grand-Baie où un DJ réunionnais devait se produire. Selon eux, au milieu de la fête, ils sont sortis pour fumer et ils se sont éloignés un peu de la boîte de nuit. Lorsqu’ils sont revenus, des bouncers à l’entrée les ont empêchés de rentrer faute de nouveaux billets d’entrée. Ils ont expliqué qu’ils l’avaient déjà fait, mais les videurs n’ont rien voulu entendre. Les plaignants ont avancé que les bouncers les ont agressés et ils n’étaient pas en mesure de se défendre. Des fêtards leur ont porté secours.