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Les grands titres de l'express de ce lundi 19 septembre 2022
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Les grands titres de l'express de ce lundi 19 septembre 2022
En une de l'express: Sri Lankais réfugiés à La Réunion : L’asile politique navigue en eaux troubles à Maurice ; Autre titre: 122e anniversaire de SSR : Navin Ramgoolam demandera des observateurs étrangers aux prochaines élections.
Sri Lankais réfugiés à La Réunion : L’asile politique navigue en eaux troubles à Maurice
L’Imula 242 GLE se trouvait entre Maurice et La Réunion, vendredi. Ce bateau de pêche battant pavillon sri-lankais, avec à son bord 46 migrants, dont deux femmes et six enfants, avait mis les autorités mauriciennes en état d’alerte. Le navire a fini par accoster à l’île sœur, samedi. Comme les occupants sont en situation irrégulière, ils devraient saisir l’Office français de protection des réfugiés et apatrides pour une demande d’asile. Pourquoi ces réfugiés – demandant l’asile politique au vu de la situation difficile de leur pays – n’ont-ils pas été accueillis chez nous ? Maurice n’est pas signataire de la Convention de Genève qui régit les conditions et procédures permettant à un État d’accorder le statut de réfugié aux demandeurs. Tout réfugié peut se retrouver en détention. Techniquement, nous n’avons pas de responsabilité légale vis-à-vis des demandeurs d’asile. Quid cependant de l’obligation morale ? Ne serait-il pas temps que nous adoptions un cadre juridique pour les étrangers en détresse ?
122e anniversaire de SSR : Navin Ramgoolam demandera des observateurs étrangers aux prochaines élections
Les célébrations du 122e anniversaire de SSR se sont déroulées à Kewal Nagar, hier. Après avoir affirmé dans son long discours que personne ne pourra effacer la mémoire de son père, le leader du PTr a commenté l’actualité locale et l’inlassable combat qu’il compte mener pour la reconquête du pouvoir.
Baisse du cours mondial : La dépréciation de la roupie condamne-t-elle le prix de l’essence à rester élevé ?
Face à la baisse, temporaire peut-être, du prix du baril de pétrole, ralentissement économique oblige, les demandes pour une répercussion sur celui des carburants ici se multiplient. Or, il faut aussi mettre dans la balance l’impact de la dépréciation de la roupie, l’augmentation des charges sociales face à l’inflation et le déficit budgétaire à combler. Résultat : une baisse conséquente du prix de l’essence à la pompe reste peu probable.
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