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Le demi-frère de Franklin: «Aret amerd mo f***»
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Le demi-frère de Franklin: «Aret amerd mo f***»
Jean Rudolph Laboudeuse, connu comme Fransco, 43 ans, est le demi-frère de Jean Hubert Celerine. Il est très connu dans l’Ouest. Résident de résidence EDC à Grande-Rivière-Noire, directeur de la compagnie FTUNA Ltd (selon le Registrar of Companies, ce serait donc un «fishing business, including banian, victualer, selling cooked food on and off premises et non-specialised wholesale trade (supplier / distributor of general merchandise, sea food, etc.)», ex-président de la PTA de l’école primaire de Rivière-Noire, ex-président du Kolektif Rvyer Nwar, et membre de Grande-Rivière-Noire FC et ancien conseiller de village. Il s’est retrouvé au-devant de la scène cette semaine après que ses photos sur son compte privé Facebook aient été massivement partagées sur les réseaux sociaux. Parmi, une en compagnie de Kobita Jugnauth. Selon nos informations toutefois, la photo a été prise lors d’une fonction officielle pour Kolektif Rvyer Nwar en 2018. Mais certains voudraient faire croire autre chose.
Selon ceux qui l’ont côtoyé, Fransco Laboudeuse serait une personne sans histoire et nullement mêlée au trafic de drogue, du moins pendant ses années dans le social. «Nou konn li bien, li fér social li.» En ajoutant qu’il avait déjà lancé son business avant que Franklin ne soit connu dans la région. «Fransco fér bann préstasyon griyad tousala dan lotel, li banyan. Li ti enn traser li. Il gagnait déjà bien sa vie. Maintenant s’il a été un prête-nom pour son frère l’on ne le saurait pas.»
Nous avons contacté le principal concerné et n’était visiblement pas très content. À peine avons-nous eu le temps de lui parler qu’on a eu cette réponse : «Eh rann moi enn servis, foto-la (NdlR, celle avec Kobita Jugnauth) pé sirkilé li ti lor mo paz privé sa, la ou pé téléfonn mwa lor mo portab privé, aret amerd mo fe** (…) Sirkil foto-la ousi, arét fatig mwa papa, mwa mo péna okenn interview pou doné. Mo pa anvi rann ou okenn répons lor sa. Bou** inpé fe** ek mwa.» Avant de nous raccrocher au nez.
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