En une de l’express; Vœux 2024 de la rédaction : Patriotisme et bienveillance ; Autre une : Rêve-olution des artistes : «Libérez la scène des restrictions policières».

Vœux 2024 de la rédaction : Patriotisme et bienveillance

Après deux années marquées par la pandémie, «l’express» renaît avec un élan inédit. Son cœur bat à nouveau avec du sang neuf, venu renforcer ses anciens piliers, témoins précieux de sa mémoire collective et de ses 60 ans d’existence. Dans une symphonie d’amour et d’espérances pour notre île natale, chaque plume s’est libérée pour offrir sa vision de l’année qui éclot. Les vœux les plus ambitieux prennent forme, tissés par nos journalistes rêvant d’un monde dont la réalité semble parfois lointaine. Nous avons partagé nos désirs, nos incertitudes, nos appréhensions… Au cœur de ces mots, se dessine un kaléidoscope d’aspirations, une fresque de perspectives infinies pour un avenir que nous voulons contribuer à façonner. En ce premier jour de 2024, Journée mondiale de la paix, la rédaction vous présente ses meilleurs vœux pour une nouvelle année, qui s’annonce pleine de défis pour nous, comme pour vous…

Rêve-olution des artistes : «Libérez la scène des restrictions policières»

Les artistes partagent un vœu pour la nouvelle année : retrouver la liberté d’organiser des concerts sans les restrictions policières actuelles. «Napa touy lar», plaident-ils. Espérant harmoniser leurs efforts pour permettre à la musique et à la culture de s’épanouir pleinement.

Judiciaire : Les grandes affaires à suivre de près cette année

Après un mois de congé, la Cour suprême reprendra ses activités le lundi 8 janvier, entamant ainsi un nouveau trimestre qui s’étendra jusqu’au 29 mars. Cette période sera marquée par des affaires politico-judiciaires captivantes, promettant d’alimenter une fois de plus les débats et les discussions. Parmi les grandes affaires qui suscitent l’attente, on compte la prise d’une décision finale dans l’affaire de l’extradition de Franklin. Également au centre des débats, les plaintes constitutionnelles pour contester le renvoi des élections municipales et la bataille juridique qui oppose le commissaire de police (CP) et le Directeur des poursuites publiques (DPP), entre autres. Revenons sur ces affaires en attente de développements.

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