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Une bande sonore où son nom est mentionné

Mᵉ Maxime Sauzier dément tout ce qui est dit à son sujet

1 novembre 2024, 09:57

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Mᵉ Maxime Sauzier dément tout ce qui est dit à son sujet

Mᵉ Maxime Sauzier persiste et signe : il affirme n’avoir jamais rencontré ni parlé personnellement à Sherry Singh.

Depuis hier, une bande sonore intitulée «Maxime Sauzier pe rod renseignements lor Sherry Singh», signée Missie Moustass et ayant trait à une conversation présumée entre les avocats Ashley Hurhangee et Samad Golamaully, est en circulation. En sus d’y voir le visage de Mᵉ Maxime Sauzier, Senior Counsel, et des deux hommes de loi susmentionnés, il est allégué que le Senior Counsel aurait appelé Samad Golamaully pour obtenir des informations sur Sherry Singh, ancien Chief Executive Officer (CEO) de Mauritius Telecom (MT).

Ayant pris connaissance de cette bande sonore, Mᵉ Sauzier, outré, qui a contacté l’express, a tenu à réagir. Il affirme n’avoir jamais rencontré ni parlé à Sherry Singh. «De ma vie, je n’ai jamais rencontré ni parlé à Sherry Singh. Je n’ai jamais parlé à Ashley Hurhangee ni à Samad Golamaully, à part un bonjour en cour, il y a une dizaine d’années. J’affirme que tout ce qui est rapporté dans cette bande sonore est totalement faux.»

Sherry Singh a récemment déclaré en direct dans un podcast que Maxime Sauzier lui avait parlé pour lui demander de l’aider à retrouver sa petite-fille, qui était portée disparue en 2019. Or, le Senior Counsel maintient qu’il ne lui a jamais parlé directement. «En 2019, ma petite-fille avait disparu et j’étais bouleversé. En signe de solidarité à mon égard, deux de mes confrères ont contacté l’ancien CEO de MT pour lui demander de borner le téléphone portable de ma petite-fille. Quand elle a été retrouvée, j’ai simplement envoyé une lettre à Sherry Singh, le 14 mai 2019, pour le remercier et dans laquelle j’exprime ‘my sincere thanks for your intervention and help subsequent to our common friend’s request’. C’était la moindre des choses que de le remercier par écrit. Mais je le redis, je ne l’ai jamais rencontré ni ne lui ai personnellement parlé.»