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Pont de GRNO: oublions le vieux en péril, place à la gaillarde modernité
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
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Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO).
Alors que le canal Dayot avec ses arches en pierres taillées, très présent dans l’actualité post-Belal, date de la colonisation française (sa construction ayant démarré en 1782 et portant le nom de l’ingénieur Thomas Dayot), n’oublions pas le pont Grande-Rivière-Nord-Ouest (GRNO). Malgré sa vétusté et son sérieux état d’usure, il n’est pas dans les petits papiers des autorités pour une rénovation. L’ancien pont de GRNO, qui date des années 1960, est inscrit sur la liste du patrimoine national depuis juin 1989 et est interdit aux véhicules à quatre roues depuis 1985. L’association SOS Patrimoine en péril a d’ailleurs souligné que le plus ancien pont de GRNO – dont il ne reste qu’une partie et qui servait au chemin de fer – n’est lui pas classé patrimoine national. C’est une structure plus récente, ornée d’une arche en fer forgé distinctive qui est reconnu comme patrimoine national. Alors que le viaduc de Sorèze est en passe de devenir le nouveau gardien des lieux, n’oublions pas que le pont de GRNO a eu une vie et qu’il est entouré de vestiges centenaires et que la rivière vit sous elle, entre petits bateaux et nature vivace.
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